me baise d'un baiser de sa bouche ! » Ce fut alors que cette divine union du Verbe éternel avec la nature humaine, représentée par ce baiser, se fit dans les entrailles sacrées de la glorieuse Vierge. Voyez
vous salue." Il ne convenait pas que l'ange révérât l'homme, jusqu'à ce qu'il se fût trouvé dans la nature humaine quelqu'un qui fût supérieur à l'ange et cette créature, ce fut la bienheureuse Vierge. La
pitié de son propre peuple ! Il ne s'est pas souvenu de ses propres enfants, ni que tous ont une même nature. Il n'a pas eu pitié des parents, mais, ivre de rage, il s'est d'abord ignoré lui-même, et ensuite
mesure où il est devenu visible pour nous par la participation à la chair et au sang ». En assumant la nature humaine, le Verbe de Dieu la divinisa sans qu'elle perdit ses caractéristiques propres. C'est pourquoi
avec simplicité et confiance, combien nous peinons. Le Cœur de Jésus ne reste pas insensible à notre nature dont il s’est lui-même revêtu. Il ne peut résister à ceux qui s’abandonnent à lui. C’est au plus
virginal de Marie, Dieu peut s’unir à l’homme « Le Verbe s'est fait chair » ne signifie pas que la nature divine ait été changée en chair, mais que le Verbe a pris une chair dans l'unité d'une seule personne
le Seigneur prit une humble vierge paysanne et l’éleva jusqu’à en faire la personne qui donna une nature humaine sans péché à la seconde Personne de la Trinité, afin qu’il puisse ainsi devenir notre Sauveur
l’occasion, il décide de faire un petit crochet par la grotte de Lourdes, cette reproduction grandeur nature au Vatican de la cavité rocheuse où la Vierge est apparue à la petite Bernadette, en 1858. Devant
une grâce abondante, comme venant des mains mêmes de la Mère du Rédempteur ». (RVM 1) Bien que de nature clairement mariale, le rosaire est en définitive un condensé du message de l'Évangile. Grâce à cette
jour saint à la Toute sainte. Ou encore, le samedi est le jour où Dieu a parachevé l’œuvre de la nature, et en Marie, Dieu a parachevé l’œuvre de la grâce. 3. - Le samedi est le jour où Dieu, après l’œuvre