grande miséricorde, demeurer au milieu de nous pour que nous puissions vivre en sa présence. Mais j'ai autre chose à vous dire : quand vous adorez, n'ayez pas peur de prendre Marie avec vous, car elle
vous ne connaissez rien. Mais viendra le jour ou` vous connaîtrez tout comme Dieu me connaît. Je vous ai donné de l'huile plus que vous n'en avez demandé et je vous donnerai quelque chose de bien plus fort
puisque je T'aime beaucoup, je me permets de Te demander, Toi qui es si bonne, de me dire qui Tu es, car j'ai le désir de Te connaître de plus en plus, sans limites, et de t'aimer avec toujours plus de ferveur
auteur d'une œuvre précieuse sur le Rosaire, et plus près de nous, Padre Pio de Pietrelcina, qui j'ai eu récemment la joie de canoniser. Le bienheureux Bartolo Longo eut un charisme spécial, celui de
prison Vitoria, il écrira : "Heureux jour que celui où je suis entré dans cette prison ! C'est là que j 'ai appris à prier, à pleurer mes péchés, à suivre le chemin du ciel..." Le 28 novembre 1951 Juan-José [...] Quatre prêtres psalmodient des invocations... Le dernier mot du condamné : "Coeur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Sainte Marie, priez pour moi !" Selon les voeux du condamné, les quatre prêtres
croyait, couvrit de sa main un de ses yeux, et de l'autre regarda. Ce qu'il vit alors, avec cet œil, je n'ai pas de mots pour le dire. La Reine de Gloire lui apparut dans sa robe couleur des belles nuits, semée [...] Pitié, dit-il alors, pardonnez-moi de vous avoir trompée en mettant ma main sur mon œil, mais ainsi ai-je pu vous voir plus belle encore, s'il est possible, dans votre humilité que dans votre splendeur
nt les cheveux. Je lui ai demandé de m'asperger d'eau bénite et que nous priions ensemble. Nous terminâmes par le Souvenez-vous : Véronique tout haut, moi en silence. Je lui ai dit : "Notre Seigneur ne
prison Vitoria, il écrira : "Heureux jour que celui où je suis entré dans cette prison ! C'est là que j 'ai appris à prier, à pleurer mes péchés, à suivre le chemin du ciel..." Le 28 novembre 1951 Juan-José [...] Quatre prêtres psalmodient des invocations... Le dernier mot du condamné : "Coeur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Sainte Marie, priez pour moi !" Selon les voeux du condamné, les quatre prêtres
Légèrement consterné, le frère fouille sa poche avec obéissance, sans rien trouver de tel. « Mon Père, je n’ai pas d’arme dans ma poche, juste un chapelet », explique-t-il. « Et le chapelet n’est pas une arme
rouge sur votre fiche : déteste l’argent, les hommages idiots, ne rêve que de soigner les malades. J’ai failli vous dire que j’en étais un à ma façon. Greffier, appelez. Mademoiselle Gilberte Degeimbre