l’humilité les soutient. L’humilité du cœur est la force génératrice des vertus ; la tige et les branches ne procèdent que de la racine. Parce que son prix est infini, parce qu’elle est le fondement sur lequel
cœur le Dieu qu’elle portait dans son sein L’Immaculée Marie, pendant que Jésus était dans son sein, ne perdait pas de vue le précieux fardeau dont elle était chargée. Elle priait et s’entretenait sans cesse
semble être la Lumière elle-même. Une créature dont la vie fut si simple, si perdue en Dieu que l'on ne peut presque rien en dire. C'est la Vierge fidèle, « celle qui gardait toutes choses en son cœur »
Comme croyante qui, dans la foi, pense avec les pensées de Dieu et veut avec la volonté de Dieu, elle ne peut qu'être une femme qui aime. Nous le percevons à travers ses gestes silencieux, auxquels se réfèrent
missionnaires abordent les païens et commencent à leur parler du Christianisme, il arrive souvent qu'ils ne leur annoncent pas immédiatement le Christ crucifié ; car la vue du Crucifié a pour les païens quelque
nt l'enfant de Bethléem, adorent avec tremblement le vainqueur du tombeau. Mais le Roi des siècles ne doit pas s'arrêter davantage sous cette voûte funèbre ; plus prompt que la lumière qui pénètre le cristal
(Jardin de l'Immaculée). Après l'explosion atomique, en 1945, il demeurera presque intact et personne ne périt dans son enceinte.
Vierge y apparaît comme un signe diaphane et presque énigmatique. A la différence de Luc, Matthieu ne nous offre pas une joyeuse contemplation de cet enfant, d'où rayonnent déjà l'Esprit et la grâce (Lc
vue le globe de feu sortir de son orbite et se précipiter sur elle, sa réaction fut immédiate. Elle ne fut pas de se livrer à une exégèse subtile pour se convaincre que ce « signe dans le ciel » n'avait
foi est le Christ, Rédempteur de l'homme, rappelait le Pape Jean-Paul II, le 16 octobre 2002. Marie ne l'obscurcit pas; elle n'obscurcit pas son œuvre salvifique. Montée au Ciel en corps et en âme, la Vierge