recevoir ! Aujourd’hui comme hier, il nous est difficile de parler de Dieu à ceux qui croient tout savoir sur lui. Dans le cas de Jésus, saint Jean Chrysostome disait : « Les gens de Nazareth l’admirent, mais
19, 30) de mon œuvre rédemptrice. » (1) Une religieuse qui a souhaité garder l'anonymat <link tout-sur-marie les-grands-temoins-marials aux-xx-et-xxi-siecles cum-clamore-valido-1943> Cum clamore valido
et à travers elle vers le Fils lui-même » (PL 157, 266A), et Bernard de Clairvaux (+ 1153) insiste sur cette nécessité : « prenez soin de confier à Marie votre petite offrande, afin que le Seigneur la reçoive
des fondements de la vie intérieure, on ne peut traiter de l'action du Christ, médiateur universel, sur son Corps mystique, sans parler aussi de l'influence de Marie médiatrice. Plusieurs, disions-nous,
est d'ordinaire le premier mot de l'enfant, il est parfois le dernier du mourant, et on l'a entendu sur le champ de bataille comme à l'agonie des vieillards. Épuré par le christianisme , l'amour maternel
volonté tendue dans une foi aveugle, s'enfermant dans le sein de Marie, se reposant coûte que coûte sur le cœur de Jésus, demandant sa grâce pour rester fidèle.
en ces temps, les derniers, dans le Temple est porté par la Mère inépousée, et celui qui légiféra sur le mont Sinaï obéit aux préceptes de la loi ; la Vierge le présente au saint et juste vieillard auquel
modèle à suivre et à imiter, ainsi qu'un exemple d'amour parfait envers Marie, Jésus pouvait compter sur la figure paternelle de Joseph, homme juste (cf. Mt 1, 19), qui assurait l'équilibre nécessaire de
l'évêque, fit tomber les fleurs miraculeuses et découvrit en même temps l'image surnaturelle imprimée sur son manteau. Alors que l'évangélisation de l'Amérique commençait très mal à cause du comportement des
il ordonnait à tous les gouverneurs et lieutenants généraux de donner aux porteurs du pli libre et sûr passage en leur faisant toute faveur et assistance si besoin est requis. Frère Fiacre n'en demandait