répond sans hésiter : « Fiat ». Elle fait confiance à Dieu. Elle sait pourtant en prononçant ce « oui, j’y consens », que la loi juive la considérant comme adultère pourrait condamner son enfant à mort et elle-même
l'a donnée pour convertir les pécheurs les plus endurcis et les hérétiques les plus obstinés. Dieu y a attaché la grâce dans cette vie et la gloire dans l'autre. Les saints l'ont pratiquée et les souverains
30 de ce mois de mai 1930, (…) voici ce qui m’a été révélé : “Ma fille, le motif en est simple. Il y a cinq espèces d’offenses et de blasphèmes proférés contre le Cœur Immaculé de Marie : les blasphèmes
sanctuaire. Les guérisons et les conversions y sont tellement nombreuses que, maintenant, les gens viennent de tous les pays francophones de l’Afrique. Des pèlerinages y sont organisés le dimanche de la miséricorde [...] Elle lui répondit par des mots simples : « Votre paroisse se développera le jour où la Vierge Marie y aura sa place. » Alors, après une préparation d'un an, le 11 février 1981, la paroisse fut consacrée
Marie. Lorsque les bergers se retirent de la crèche, il nous dit : « Marie gardait toutes ces choses, y réfléchissant dans son cœur » (2, 19). Et lorsque l'Enfant Jésus est découvert en train d'enseigner
statue à la petite communauté catholique, qui l'expose dans la paroisse locale. Tout cela s'est passé il y a quelques années. Puis, tout récemment, en 2022, l'histoire s'est répandue : les sœurs en ont fait [...] comprendre « comment cette statue a fini dans la décharge, vu que, surtout dans cette partie du pays, il y a très peu de catholiques. J'ai donc pensé que le Seigneur, à travers sa Sainte Mère, se rend présent
rejet, de douleur, d'abandon ». Il a révélé avoir parlé de la statue avec le Saint-Père, « lorsqu'il y a quelques mois, je lui ai rendu visite avec une petite délégation de moines bouddhistes de Mongolie [...] que le pape François a utilisée pour décrire ces petites communautés ecclésiales, en s'adressant, il y a quelque temps, aux évêques d'Asie centrale : « Ce sont, a-t-il dit, des pousses dans la steppe. »
Gethsémani. Il lui dit : « C'est ici où j'ai le plus souffert qu'en tout le reste de ma Passion (...) ; il n'y a point de créature qui puisse comprendre la grandeur des tourments que je souffris alors. » L’équipe
debout, considérant en pensée nombre de questions possibles, et lui en adressant quatre ou cinq. Elle y répondit, puis me parla pendant plusieurs minutes puis l’audience prit fin . (…) Je me rappelle tous
communisme n’était pas un mouvement ouvrier, qu’il ne libérait pas et que la religion ne mourrait pas. Il y eut aussi un facteur mystique décisif, notamment, le 13 février 1917 (avant Fatima et avant la révolution