en roulant contre les murs de la cour où ma tante s’abritait. Sans obéir à ce pressentiment, elle aurait été broyée par les grumes. Son dernier pressentiment fut celui de son départ pour le Ciel. Malade
suis demandée si je continuais ou m'arrêtais. Mais j'étais proche de la maison et j'ai pensé que je n'aurais plus le courage de repartir si je m’arrêtais. Alors j'ai poursuivi ma route, chantant la gloire
de réunir les contraires : une étable et « une multitude d'anges », une crèche et un « royaume qui n'aura pas de fin ». Comme elle, comme les bergers et les rois mages, nous aussi, conservons au moins l
prisonniers de guerre allemands soignés dans des hôpitaux français indiquent que ces apparitions auraient été vues par des dizaines de milliers d'hommes mais qu'on leur avait interdit d'en parler sous peine
tous cas. Le lendemain, seuls quelques-uns parmi nous ont la chance d’apprendre qu’une apparition aura lieu à l’Oasis de la Paix . Sur place, je ne vois pas la Vierge, bien sûr, je ne peux pas dire que
puis Jean ne pouvait pas écrire du vivant des Apôtres : « Je suis le disciple bien-aimé ». Cela n'aurait pas été très délicat à l'égard des autres. On peut penser que Jean a rencontré Luc qui est un i
selon la tradition, a eu lieu l’Annonciation et où la Sainte Famille a vécu. La « Sainte Maison » aurait été transportée par les anges, de Nazareth à Lorette. Le pape Benoît XV a proclamé la Vierge de Lorette
me vit tombée dans cet état désespérant. Il crut bientôt que j'allais mourir; mais Notre-Seigneur aurait pu lui répondre : « Cette maladie ne va pas à la mort, elle est envoyée afin que Dieu soit glorifié
la guérison de sa pauvre petite reine. Ah! que je fus touchée en voyant sa foi et son amour! Que j'aurais voulu me lever et lui dire que j'étais guérie ! Hélas! mes désirs ne pouvaient faire un miracle
puis Jean ne pouvait pas écrire du vivant des Apôtres : « Je suis le disciple bien-aimé ». Cela n'aurait pas été très délicat à l'égard des autres. On peut penser que Jean a rencontré Luc qui est un i