fils », et « Fils, celle-là est ta mère ». J’ai expérimenté la maternité de Marie qui m’a aidé à vivre de manière confiante ce moment difficile. Et lorsque j’ai été nommé évêque du diocèse de Camaçari (Bahia)
». Cette question le bouleverse. Il s'ensuit un événement fondamental qu'il avouera à sa mère : « J'ai beaucoup prié la Saint Vierge de me dire ce que je deviendrai. Alors elle m'est apparue en tenant [...] a proposées. La blanche signifie que je serai toujours pur et la rouge que je serai martyr. Je les ai acceptées toutes les deux ! » Le 17 février 1941, des policiers de la Gestapo se saisissent du Père
l'environnaient : « Tenez ! Regardez-le, le voilà, c'est lui ». J'ai piqué un fard. Je ne savais où me mettre ; j'aurais voulu rentrer sous terre. J'ai enlevé ma barrette ; mais, pour le tablier (gesticulant)
». Cette question le bouleverse. Il s'ensuit un événement fondamental qu'il avouera à sa mère : « J'ai beaucoup prié la Saint Vierge de me dire ce que je deviendrai. Alors elle m'est apparue en tenant [...] a proposées. La blanche signifie que je serai toujours pur et la rouge que je serai martyr. Je les ai acceptées toutes les deux ! » Le 17 février 1941, des policiers de la Gestapo se saisissent du Père
Temple ! Mais, hélas ! Ces premières années sont déjà bien loin de moi ! J'ai employé un temps si précieux à servir le monde et vous ai oubliée en écoutant la voix de mes passions. Toutefois il vaut mieux
de Notre-Dame del Roble (« du chêne »). Ma première communion, je l’ai faite à l'église de Notre-Dame de la Consolation ; puis j’ai été ordonné diacre et ensuite prêtre dans la paroisse (aujourd'hui
journées prirent du sens », confie le prêtre syrien. « J’ai senti qu’à travers lui, c’était le Seigneur qui m’adressait cette parole. Grâce à la prière, j’ai pu regagner ma paix. On était en mai, le mois de
j’avais 10 ans, un événement extraordinaire a changé ma vie. J’ai été touchée par le surnaturel et on m’a confié un secret. Un secret que j’ai gardé envers et contre tous. Mes supérieures m’ont demandé d’écrire
ne pas y croire". - Mon plus beau souvenir ?... à la prison des femmes de Rennes. Il y a deux ans, j'ai passé la veillée de Noël chez elles, avec mon guitariste. Les détenues avaient eu la permission de [...] elles. Elles chantaient le vieux cantique "j'irai la voir un jour". Cela aurait pu faire sourire, j'ai pleuré comme un gosse. Et Raymond conclut : "Le chant ça fait partie de ma vie, mais chanter le C
Comment vit-elle cela ? Comment dit-elle « oui » chaque fois ? J’ai procédé de manière chronologique pour essayer de la suivre, de l’accompagner. J’ai fait autant de tableaux que nécessaire, soit une cinquantaine