son dépouillement. La Gloire de Dieu environne les pauvres bergers dans la nuit de Noël (2, 9), mais non point la crèche où git le Messie-Seigneur. Luc laisse à la prophétie de Siméon sur le glaive de douleur
déclare Octobre comme le mois du Rosaire (1883) Syracuse : le mystérieux langage de ses pleurs (IV) "Non, les larmes de la Madone ne sont pas des larmes d'allégresse, ce sont des larmes d'affliction, de tristesse
États-Unis. (...) Les gens ont une grande dévotion à Notre Dame. L'intercession de Notre Dame est non seulement essentielle pour eux mais elle est aussi très puissante. Avec un million de personnes qui
terrestre, elle gardait, elle aussi, une certaine ‘implénitude' et était sujette à des erreurs, mais non à des péchés. On peut le voir dans l'Évangile, lorsque, revenant de Jérusalem, elle ne savait pas où
mortifications, pour effacer au plus vite leurs peines temporelles dues à leurs péchés, pardonnés mais non expiés ici-bas. Ce n'est pas un jour de tristesse ni de deuil : c'est un jour d'ardente supplication
tout comme lui était le Sauveur de toute l'humanité. Elle allait avoir désormais de nombreux enfants, non pas selon la chair, mais selon l'esprit. Jésus était son premier-né, dans la chair et dans la joie
Qui les empêche d'obtenir ce bonheur ? Le Sauveur vous a ouvert une large voie, et il est permis non seulement aux femmes, mais encore aux hommes de devenir mère de Dieu."
Larmes (1953) - Saint Augustin Marie, mère et fille du Christ Cette femme unique est vierge et mère non seulement selon l'esprit, mais aussi selon le corps. Elle n'est pas la mère, selon l'esprit, de notre
livres savants ! Moi, toute seule dans mon coeur d'enfant, je veux me recueillir pour contempler, non une image, mais la plus vivante et la plus splendide réalité qui, descendue du Ciel, s'est accomplie
le plan divin, consubstantiel à Dieu son Père, c'est-à-dire que sa substance est celle du Père et non «comme» celle du Père.