Dont le regard divin t'a soudain refleuri ? Nous mettrons notre orgueil à chanter ses louanges : Rien ne vaut la douceur de son autorité ; Sa chair spirituelle a le parfum des Anges, Et son oeil nous revêt
comme des tours, opulentes et seules Comme un rang de châteaux sur la barque amirale. Nous sommes nés pour vous, au bord de ce plateau, Dans le recourbement de notre blonde Loire, Et ce fleuve de sable
grâce va former mon âme, afin que sa petite enfant soit une image vivante, saisissante de son premier-né, le Fils de l'Eternel, celui-là qui fut la parfaite louange de la gloire de son Père.
Folgöet Salaün était un simple que ses contemporains du XIV° siècle considéraient comme un fou. Il ne savait dire que deux mots : "Ave Maria" (je vous salue, Marie) et il les répétait continuellement.
elle qui, par la dignité de son élection, dépasse toute créature élue, si grande soit-elle. Marie ne fut-elle pas une très haute montagne, elle qui a dressé une cîme de mérites, par-dessus tous les chœurs
éternel, Marie très sainte, vous qui avez reçu de Lui un cœur qui prend en pitié les malheurs humains et ne peut résister à consoler ceux qui souffrent, prenez mon âme en pitié et accordez-moi la grâce que j'attends
obligée de le dire, malgré son humilité profonde : "Le Puissant fit pour moi des merveilles". Le monde ne les connaît pas, parce qu'il en est incapable et indigne.
Marie eût-elle pu n'être pas silencieuse ? Une créature qui avait vécu si longtemps avec le Créateur ne pouvait parler beaucoup ; son cœur était plein, son âme était réduite au silence. Elle était avec Jésus
faire pour les plus délaissés, pour les plus abandonnés, aller aux brebis les plus perdues, (…) et je ne crois pas pouvoir leur faire de plus grand bien que celui de leur apporter, comme Marie dans la maison
Terreur des démons », car il est impossible pour le démon de faire périr un homme tant que ce dernier ne cesse lui-même de recourir à l'aide de la Theotokos. Saint Séraphim de Sarov De l’Eglise russe orthodoxe