de sa conception des splendeurs d'une sainteté tout à fait singulière, la Vierge de Nazareth est, sur l'ordre de Dieu, saluée par l'Ange de l'Annonciation comme "pleine de grâces" (cf. Lc 1, 28); et elle
à l'heure de notre mort. Amen. Joseph a été placé aux côtés de Marie comme le Séraphin qui veille sur le Tabernacle. Il y a un « oui » de Jésus à l'Incarnation, dans l'esprit du Psaume 39 (cf. Hb 10,5)
e pénètre les coeurs ; étonnés, les bons villageois s'interrogent, ouvrent les portes, se mettent sur le seuil de leurs chaumières, examinent le firmament. C'est en vain : rien ne révèle la cause du sentiment
joie, car j'y serai avec vous » ! Et quand les Apôtres arrivèrent à l'église de Lydda, ils trouvèrent sur l'une des colonnes une image de la Mère de Dieu, miraculeusement faite « sans mains d'hommes ». Plus
Marie "Mère de l'Eglise" (1964) Pour que la joie de Marie soit aussi la nôtre (III) « Il s'est penché sur son humble servante » (Lc 1, 48). Marie porte en elle celui qui " sera appelé Fils du très haut " (lc
encore, sa chèvre. La paysanne réagit avec véhémence : « Belle Dame ! Pour le mouton, je le compterai sur mes gages, pour la chèvre non ! Elle me fait besoin, me porte pour passer la rivière quand elle est
actuelle (lors de son couronnement en 1837, la reine Victoria était âgée de 18 ans), leur regard se fixa sur cette créature si proche de l'enfance, si frêle, si délicate, si timide, qui avait été élevée à un
jeune bergère. Aussi pleure-t-elle régulièrement, à chaudes larmes, et se cache-t-elle pour pleurer sur le péché du monde. La bonne mère a dit très souvent à Benoîte que les prières que l'on faisait à Jésus
où règne la magie de l'amour. On vénère une icône en l'embrassant, en posant un instant son front sur elle, on met une copie en relation avec son modèle : jeu de transparence.
fidèles de la Vierge Aparecida, couronna en 1904 Notre-Dame Reine du Brésil. Ce patronage de Marie sur une nation n'est pas quelque chose qui a lieu sans la participation de ses protégés, mais suppose leur