Quelque temps après se retournant, il la vit toute joyeuse : « Marie, qu'y a-t-il donc ? Je vois sur votre visage tantôt la joie, tantôt la tristesse ! » Marie répondit : « C'est parce que je vois de
avoir entendu de la bouche de la Mère de Dieu : "Je suis celle qui continuellement veille en prière sur le monde, comme l'arc-en-ciel qui reste dans le ciel au-dessus des nuages et qui semble s'abaisser
Mont-Carmel (II) Près de vous, ô ma tendre Mère ! J'ai trouvé le repos du c?ur ; Je ne veux plus rien sur la terre, Jésus seul est tout mon bonheur. Si parfois je sens la tristesse, La crainte qui vient m
sein virginal celui que les cieux ne peuvent contenir. Toi par qui la Trinité est glorifiée et adorée sur toute la terre, par qui le ciel exulte..
moins, je fus ravie en esprit, et je vis la Vierge dans sa gloire. Une femme pouvait donc être placée sur un tel trône et dans une telle majesté? Ce sentiment m'inonda d'une joie ineffable. Cette gloire était
jours dans 7 diocèses (1947) Le Rosaire de la Vierge Marie (V) Marie vit en gardant les yeux fixés sur le Christ, et chacune de ses paroles devient pour elle un trésor: «Elle retenait tous ces événements
et le mystère du Christ dans le langage symbolique des anciens aztèques et la position des étoiles sur le manteau correspond à une projection (et non une représentation : image miroir) de la position exacte
Marthe Robin qui le portait en très haute estime comme le rapporte le Père Jean Hemery dans son livre sur la Vierge ("La Mère de Jésus était là", éd. Letheilleux, p. 194). Le Traité de la Vraie Dévotion a
jamais personne ne l’entendit médire. Tous ses mots étaient si pleins de grâce qu’on reconnaissait Dieu sur ses lèvres. Toujours elle demeurait à prier et à scruter la Loi. Elle était toute attention envers
traduit un poême récent de Maria Razusova Martakova, qui dit sa tristesse de ne plus pouvoir s’appuyer sur Marie dans son pèlerinage terrestre : Cette certitude gît dans mon cœur, Et Dieu sait combien le désir