Châteaugiron, vendre mes produits. - Êtes-vous bien certain d'y arriver ? - Que t'importe ? lui répondit-il malhonnêtement, passe ton chemin, je n'ai pas besoin de tes services. Et il blasphéma de nouveau
Hurons. Malgré l'heure, le vent n'était pas encore tombé et le rosier tremblait de toutes ses feuilles. Cette fois, c'en est bien fini du pauvre arbuste dont toute la vie n'a été qu'hommage discret, longue [...] s un salut ironique... Un couteau brille dans sa main libre !... Il va frapper !... Mais la Vierge n'a pas dit son dernier mot ! Attendez ! Le bras qui menaçait reste levé : un cri perçant parti de la [...] stupide, puis il s'élance à travers les villageois atterrés et se rue dans la maison. Déjà sa femme l'y a précédé et au bout d'une demi-minute on la voit paraître avec un bébé dans les bras et s'affaisser
Jésus, Jean restera avec Marie pendant une vingtaine d'année. De 30 à 36, après la Pentecôte, Jean, qui n'a que 20 ans, est très proche de Pierre, qu'il seconde lors de la première évangélisation de Jérusalem [...] on le voit dans les Actes des Apôtres, en restant silencieux, comme son caractère et son jeune âge l'y inclinent, jusqu'à ce que la persécution qui suit la révocation de Ponce Pilate oblige les Apôtres à
sphère religieuse, c'est la femme qui est le sexe fort. » Dès lors, pour une femme - à condition qu'elle y soit appelée - la consécration religieuse de toute sa personne est une mise en valeur privilégiée de [...] d'épousailles. Elle est tout entière contenue dans le « me voici », intime, total, définitif, à Dieu. Dieu n'est pas connu - dans le sens biblique du mot - d'une façon conceptuelle, intellectuelle, mais « nuptialement
il pourrait ramener facilement les âmes au Christ. Cependant, il se rendit compte que ses méthodes n'étaient pas aussi efficaces qu'il l'avait espéré et en conclut qu'il avait besoin de quelque chose de [...] par la rosée de la grâce divine. Quand Dieu a voulu renouveler la face de la terre, il a commencé par y envoyer la pluie fertilisante de la Salutation Angélique. Donc, prêche maintenant mon psautier ! ».