Parole tenue. Elle est toute en Dieu par élection et par grâce, elle reste toute de chez nous par sa nature et pas sa race, par son odeur inaliénable de fille de chez nous.
ouvre la Porte Ma très sainte Dame, Mère de Dieu, pleine de grâce, vous, la Commune gloire de notre nature, le Canal de tous les biens, la Reine de toutes choses après la Trinité, ... la Médiatrice du monde
la regarde et la révère comme celle que Dieu a fait naître pour la revêtir un jour d’une nouvelle nature. Et ce Dieu même qui veut naître d’elle l’aime et la regarde en cette qualité. Son regard n’est pas
pourpre royale du sang de David. Pour tout dire en un mot : aujourd'hui, la réformation de notre nature commence, et le monde vieilli, soumis à une transformation toute divine, reçoit les prémices de la
la regarde et la révère comme celle que Dieu a fait naître pour la revêtir un jour d'une nouvelle nature. Et ce Dieu même qui veut naître d'elle l'aime et la regarde en cette qualité. Son regard n'est pas
pourpre royale du sang de David. Pour tout dire en un mot : aujourd'hui, la réformation de notre nature commence, et le monde vieilli, soumis à une transformation toute divine, reçoit les prémices de la
Marie au Temple nous apprend plusieurs choses au sujet de la piété mariale. La première a trait à la nature des liens de la Vierge avec Dieu. Marie lui a toujours accordé la priorité dans son existence. Là [...] plan ! Le second enseignement du mystère de la présentation de la Vierge Marie au Temple concerne la nature de la piété mariale. Notre amour de Marie ne doit pas être dicté d’abord par des sentiments ou des
Esprit de Jésus-Christ ; elle qui accepta « à la place de la nature humaine toute entière qu'un « mariage spirituel unit le Fils de Dieu et la nature humaine » (saint Thomas III, q. XXX, a. I). Ce fut elle
notre divinisation est possible et réelle, et que tout en restant créatures, nous participerons à la nature divine, à la vie divine, par les énergies divines. Marie la première y est parvenue, par la grâce
présent dans l'esprit de Dieu. L'union hypostatique de la seconde Personne de la Sainte Trinité avec la nature humaine fut donc le premier ouvrage ad extra, parce qu'après que Dieu se fût connu et aimé en lui-même