dominante de cette fête. Tous les âges disent bienheureuse la Vierge qui a porté le Fils du Père éternel. (...) Cette fête est commune avec les Églises orientales.
Garicoïts y fonda les missionnaires du Sacré-Coeur qui rayonnent dans le monde entier : « O Père éternel, nous voici ! Recevez-nous des mains de votre Fils bien-aimé ; nous nous abandonnons à votre amour
Garicoïts y fonda les missionnaires du Sacré-Coeur qui rayonnent dans le monde entier : « O Père éternel, nous voici ! Recevez-nous des mains de votre Fils bien-aimé ; nous nous abandonnons à votre amour
fidèles ; mais il faut qu'il lui en coûte la mort de son premier-né, il faut qu'elle se joigne au Père éternel, et qu'ils livrent leur commun Fils d'un commun accord au supplice. C'est pour cela que la Providence
plus ardent amour, va à l'Epoux qui est l'Amour même essentiel, l'Amour-Dieu, infini, immense et éternel. C'est ainsi que selon le Cantique des Cantiques, «Le Bien-Aimé de Marie est tout à elle, et Marie
coeur virginal, pourra conclure saint Jean Eudes, quatre siècles plus tard, est comme « un évangile éternel », du fait qu'il fut « le dépositaire des principaux mystères que le sauveur a opérés en la terre
plus ardent amour, va à l'Epoux qui est l'Amour même essentiel, l'Amour-Dieu, infini, immense et éternel. C'est ainsi que selon le Cantique des Cantiques, «Le Bien-Aimé de Marie est tout à elle, et Marie
nous le pouvons magnifier en nous. Toute âme sainte, dit saint Augustin, peut concevoir le Verbe éternel en soi-même, par le moyen de la foi ; elle peut l'enfanter dans les autres âmes par la prédication [...] Dieu, qui ont été, sont et seront dans tout l'univers. Car si saint Paul nous assure que le Père éternel nous a donné toutes choses en nous donnant son Fils, il est sans doute qu'en le donnant à sa divine
intacte son identité, et en gardant toujours la certitude inébranlable d’être l’instrument d’un destin éternel, aux dimensions du monde. Les prophéties, très nombreuses, annonçant la venue du Messie définissent
Créature d'exception qui a reçu l'incomparable privilège, en tant que Mère de Dieu, d'offrir au Père éternel une réparation suffisante pour le crime sans nom ni mesure qui servit à Jésus à accomplir la rédemption