l'Assomption (1950) Le Dogme de l'Assomption proclamé par Pie XII en 1950 Après avoir très souvent adressé à Dieu nos supplications, invoqué la lumière de l'Esprit de vérité, pour la gloire du Dieu tout-puissant
le cœur la même inspiration envers Notre Dame de Bargemon, comme en témoignaient les signes qu’il adressa à son père lorsque ce dernier lui parla de sa promesse à la Vierge Marie. Ils se mirent donc en route
la Reine des Cieux." (...) Le dernier soir, elle déclare: "Je convertirai les pécheurs." Elle s'adresse à Fernande: "Aimez-vous mon Fils ? M'aimez-vous ?" Et, après la double réponse affirmative de l'
tourner ses pensées dans d'autres directions, comme il le fait maintenant lorsque sa conscience lui adresse des reproches, mais il ne le pourrait plus. Il se rendrait compte que l'oeil éternel de Dieu, qui
des Apôtres, lorsqu'elle devint Reine, et qu'elle prit place à la droite de son Fils, elle ne s'adressa pas même alors au peuple fidèle pour qu'il publiât son nom jusqu'aux extrémités du monde, ou pour
er novembre 1950, le pape Pie XII proclame le dogme de l’Assomption : « Après avoir très souvent adressé à Dieu nos supplications, invoqué la lumière de l'Esprit de vérité, pour la gloire du Dieu tout-puissant
Marie, Mère de l'Église, c'est à dire de tous, fidèles et pasteurs, fasse que le peuple chrétien s'adresse à la Sainte Vierge avec plus de confiance et de ferveur et lui rende le culte et l'honneur qui lui
devons mourir, mais dites un mot et nous sommes rappelés à la vie. C'est la supplication que vous adresse, ô Vierge pleine de pitié, le triste Adam, exilé du ciel avec sa malheureuse postérité, c'est la
des Apôtres, lorsqu'elle devint Reine, et qu'elle prit place à la droite de son Fils, elle ne s'adressa pas même alors au peuple fidèle pour qu'il publiât son nom jusqu'aux extrémités du monde, ou pour
Marie, Mère de l'Église, c'est à dire de tous, fidèles et pasteurs, fasse que le peuple chrétien s'adresse à la Sainte Vierge avec plus de confiance et de ferveur et lui rende le culte et l'honneur qui lui