supplions-la au nom de ces liens maternels qui l'unissent si étroitement à Jésus et à nous; invoquons avec une profonde piété son assistance par le type de prière qu'elle nous a elle-même désigné et qui lui est
manuscrit du 15ème siècle relate la "ballade de Walsingham" et explique comment Marie répondit en 1061 à une noble veuve, Lady Richedis, qui désirait l'honorer. La Vierge lui demanda et elle la conduisit par
annonce d'un salut, celle de la Genèse, juste après la chute, quand Dieu dit au serpent : « Je mettrais une hostilité entre la Femme et toi, entre ta descendance et sa descendance. Elle t'écrasera la tête et
touchaient l'âme. Le démon se mit alors à crier: «Écoutez, Juge tout-puissant. J'ai à me plaindre d'une femme qui est à la fois ma Souveraine et votre Mère, à laquelle votre amour a donné tout pouvoir sur
(II) Dès la première année après la fondation du monastère, les moines réunis en l'église avaient vu une colonne de lumière effleurer l'autel, se transformer en barque lumineuse portant la Vierge, les anges
fécondité unie à la virginité. En effet, jamais, depuis que le monde est monde, on n'a entendu parler d'une vierge mère. Mais que sera-ce si vous faites attention à celui dont elle est la mère ? A quel degré
au Calvaire Si Marie put être tentée, comme Jésus l’a été au désert, ce fut surtout sous la Croix : une tentation des plus insidieuses et des plus douloureuses, car Jésus même en était la cause. Elle croyait
février 1638 l’Edit officiel qui consacre solennellement la France à Marie. Louis XIII instaure aussi une procession qui doit être renouvelée chaque année, le 15 août, pour la fête de l’Assomption, dans toutes
la prostration de la foule dévote à l'église, quand un clerc prononce le nom de Marie. C'est comme une datte pleine de douceur et douce en nous... Douce est l'image de Marie, que les artistes font avec
située entre nous, vivants sur la terre d'exil, et le Christ glorieux déjà dans le ciel. Il y a donc une conscience de la fonction médiatrice de Marie. Humbert dit : “nec de poenis hujus mundi ad gaudia coeli