vous en conjure, combien nous sommes obligés à la bienheureuse Mère de Dieu, et quelles actions de grâces nous lui devons rendre après Dieu pour un si grand bienfait. Car ce Corps du Christ qu'elle a engendré
elle pût croitre tellement en grâce qu'à la venue de l'Ange et du Seigneur, elle fût « pleine de grâces », préparée autant qu'une créature peut l'être, à le recevoir en son sein.
médaille miraculeuse, avec sur l'avers la Vierge les bras ouverts avec des rayons représentant les grâces, et sur le revers deux coeurs et un M surmonté d'une petite croix.
gloire et pour le plus grand bien des âmes. Faisons en sorte qu'ils soient pour nous une source de grâces et de bénédictions ; contribuant à exciter en nous une foi vive, une foi agissante, une foi qui nous
Rome, Thérèse fait l'expérience de la tendresse fidèle de Marie, à Notre-Dame des Victoires : « Les grâces qu'elle m'accorda m'émurent si profondément que mes larmes seules traduisirent mon bonheur, comme
saint Antonin et beaucoup d’autres (1) , voici le plan, la volonté formelle de Dieu : Toutes les grâces qu’Il accordera jamais aux hommes, toutes sans exception, passeront par les mains de Marie. Aux yeux [...] son tout-puissant crédit auprès de Dieu ? Précisément parce qu’elle peut nous obtenir toutes les grâces que nous désirons. Demander une grâce à Marie, c’est l’obtenir. Sommes-nous indignes d’être exaucés
en conjure, combien nous sommes redevables à la bienheureuse Mère de Dieu, et quelles actions de grâces nous lui devons rendre après Dieu pour un si grand bienfait. Car ce Corps du Christ qu'elle a engendré
Epouse de l’Esprit Saint Quand Marie a jeté ses racines dans une âme, elle y produit des merveilles de grâces qu'elle seule peut produire parce qu'elle est seule la Vierge féconde qui n'a jamais eu ni n'aura
, la gioia della sua anima,e come piangeva di gioia ! Non la scorderò mai. Abate Stéphane Guédon Grâces extraordinaires obtenues par la Médaille miraculeuse ( Grazie straordinarie ottenute dalla Medaglia
Vierge de Nazareth est, sur l'ordre de Dieu, saluée par l'Ange de l'Annonciation comme "pleine de grâces" (cf. Lc 1, 28); et elle répond au messager céleste: "Voici la servante du Seigneur, qu'il me soit