ce son aide. Il savait combien de fois Notre Dame a évité à l'Humanité de tombe dans l'abîme, le néant et l'autodestruction. Saint Jean-Paul II avait cette certitude que Notre Dame peut, désire et même
manger de l'herbe et à boire de la boue, c'est-à-dire à prendre dans les eaux de l'amour un bain de néant, à nous replonger dans ces eaux baptismales qui nous purifient jusqu'à l'âme, jusqu'à cette image
l'esprit de l'Église catholique. C’est oublier que la gloire principale de Marie réside dans son néant, dans le fait d'être la « servante du Seigneur », elle qui, en devenant la Mère de Dieu, a agi simplement