toute sa vie l’image de Marie attachée à son cou par une chaîne d’or. Devenu âgé, il demanda à être enterré avec une statue de la Vierge sur son cœur. Après sa mort, le Concile de Mayence (Allemagne) impose
des péchés. Plusieurs grands personnages ont voulu que leur cœur soit déposé dans une urne ou soit enterré sous les pavés de la sainte chapelle, entre autres les cœurs des ducs et rois régnants de la famille
que Boniface VIII (†1303) plaçait dans le Rosaire était à ce point illimitée qu'il demanda à être enterré avec les habits ornés des Mystères du Rosaire. Cet acte de confiance filiale plut tant à Dieu que
fonction de 1670 à 1704, date de sa mort à Qannoubine, dans la vallée sainte libanaise, où il est enterré dans la grotte de sainte Marina. Outre ses brillantes qualités intellectuelles, de nombreux miracles
des péchés. Plusieurs grands personnages ont voulu que leur cœur soit déposé dans une urne ou soit enterré sous les pavés de la sainte chapelle : les coeurs des ducs et rois régnants de la famille des Wittelsbach
contractera la variole, et y mourra, victime de son dévouement et de son immense charité. Il fut enterré à Berlin, dans la cathédrale Sainte Hedwige. Depuis la guerre de 1940, sa tombe est adossée au "mur
contractera la variole, et y mourra, victime de son dévouement et de son immense charité. Il fut enterré à Berlin, dans la cathédrale Sainte Hedwige. Depuis la guerre de 1940, sa tombe est adossée au "mur
des péchés. Plusieurs grands personnages ont voulu que leur cœur soit déposé dans une urne ou soit enterré sous les pavés de la sainte chapelle : les coeurs des ducs et rois régnants de la famille des Wittelsbach
tombe sur le cortège en formation. Hélas ! Au lieu du mariage, ce furent des obsèques à Kophàza. On enterra Eléanore, la miraculée de la Vierge de la Chapelle dans la forêt de Kophàza... Terreur, effroi, pleurs
tombe sur le cortège en formation. Hélas ! Au lieu du mariage, ce furent des obsèques à Kophàza. On enterra Eléanore, la miraculée de la Vierge de la Chapelle dans la forêt de Kophàza... Terreur, effroi, pleurs