rédemptrice ; avec le Fils, la Mère ; avec l'Auteur de la Grâce, la Médiatrice universelle de toutes les grâces. En adorant ce plan merveilleux, respectons ce que Dieu a inséparablement uni dans le temps et pour
avec son Fils, de multiplier ses instances auprès de lui, pour que les plus abondants ruisseaux de grâces découlent sans interruption de la Tête dans tous les membres du Corps mystique et que son patronage
d'Agreda (IV) Dans le quatrième instant, il fut établi que l'humanité du Verbe recevrait toutes les grâces possibles et que la sainteté, la science, la béatitude et la gloire divine afflueraient dans son
temporelles, non pas même les douceurs de la consolation et de la paix sensible, mais la grâce des grâces qui est, au jour le jour, de disposer notre âme dans la pureté, dans l'abnégation, dans la pratique
d'Agreda (IV) Dans le quatrième instant, il fut établi que l'humanité du Verbe recevrait toutes les grâces possibles et que la sainteté, la science, la béatitude et la gloire divine afflueraient dans son
transférée en l'église Sainte-Thérèse d'Avila de Vilnius en 1671. A la suite de nombreux miracles et grâces, la vénération envers cette image miraculeuse s'est répandue dans toute la Pologne au point qu'en
je vis pour mourir, que la mort est la grande idée, le sens de ma vie. La mort, c’est la grâce des grâces, et le couronnement de notre vie chrétienne. Elle n’est pas une fin, comme, hélas, encore trop le
dans la félicité des anges et des saints. Par vos mains toutes pures, Dieu répand l'abondance de ses grâces et de ses faveurs : Marie, mon espérance, priez pour moi et je serai sauvée. N'obtenez-vous pas,
par elle, l'homme est devenu agréable à Dieu ; par elle s'écoulent sur nous les torrents de toutes grâces.
je vis pour mourir, que la mort est la grande idée, le sens de ma vie. La mort, c'est la grâce des grâces, et le couronnement de notre vie chrétienne. Elle n'est pas une fin, comme, hélas, encore trop le