nous ne pouvons concevoir en faisant abstraction de celle qui est la Mère du Verbe incarné, et que Jésus Christ a voulu si intimement unie à lui pour notre salut. Voilà pourquoi c'est dans la vision de l'Eglise
(Saint Louis Marie de Montfort, Traité de la vraie dévotion, n. 175) A travers la dévotion à Marie, Jésus lui-même "élargit le coeur par une sainte confiance en Dieu, le faisant regarder comme son père; il
r cette parole ? Elle semble vouloir dire que ce n'est qu'en Galilée qu'on peut vraiment trouver Jésus car Il est pour toujours « Le Nazaréen ». Nazareth est son paradis sur terre, le lieu qu'il a marqué
e, il l'avait préparé à ce rôle. Marie, elle, reçut de son Fils à la Croix, celui qu'après elle, Jésus avait le plus aimé sur terre. Avec des moyens dépassant encore ceux du Précurseur, Marie allait continuer
si constant, si généreux qu'ils nous ont témoigné dans notre enfance. Eh bien ! Marie redisait à Jésus, dans ses adorations du Cénacle tout ce qu'il avait fait pour la gloire de son Père. Elle lui rappelait
lui. Oh ! qu'elle était pure ! Toutes les lumières de l'Hostie et toutes les flammes du Coeur de Jésus passaient par le Coeur immaculé de la Très Sainte Vierge.
parlaient diverses langues et faisaient de nombreux miracles en invoquant le très auguste nom de Jésus, on rapporte que de nombreux disciples des saints prophètes Elie et Elisée, préparés par la prédication
et les autres à la suite - persévéraient tous en accord unanime, avec les femmes et Marie, mère de Jésus (Ac 1, 14). Marie ne se plaçait-elle pas la dernière des femmes pour être ainsi nommée la toute dernière
lui crie-t-on Marie, elle répond Dieu.» En effet, on ne saurait reprocher au Rosaire de masquer Jésus-Christ. Prière christocentrique, le Rosaire l'est éminemment. Comme le dit Léon XIII : « Dans le Rosaire
Dame des Grâces (1519).- Notre-Dame de Mercede Marie, signe d'espérance assuré (I) Si la Mère de Jésus, déjà glorifiée au ciel en son corps et en son âme, est l'image et le commencement de ce que sera