et Immaculé de Marie. Un peu plus tard, le 31 mai 1915, le Pape Benoît XV recommandera aussi de s'adresser au Coeur Douloureux et Immaculé de Marie. Le 28 septembre 1915, il amplifiera ce geste en accordant
N'oublie pas les gémissements de ta mère. Chrétien, enfant de la croix, c'est à toi que ces paroles s'adressent : quand le monde t'attire par ses voluptés, pour détourner l'imagination de ses délices pernicieuses
la Reine des Cieux." (...) Le dernier soir, elle déclare: "Je convertirai les pécheurs." Elle s'adresse à Fernande: "Aimez-vous mon Fils ? M'aimez-vous ?" Et, après la double réponse affirmative de l
N'oublie pas les gémissements de ta mère. Chrétien, enfant de la croix, c'est à toi que ces paroles s'adressent : quand le monde t'attire par ses voluptés, pour détourner l'imagination de ses délices pernicieuses
et Immaculé de Marie. Un peu plus tard, le 31 mai 1915, le Pape Benoît XV recommandera aussi de s'adresser au Coeur Douloureux et Immaculé de Marie. Le 28 septembre 1915, il amplifiera ce geste en accordant
celle des Apôtres, lorsqu'elle devint Reine, et qu'elle prit place à la droite de son Fils, elle ne s'adressa pas même alors au peuple fidèle pour qu'il publiât son nom jusqu'aux extrémités du monde, ou pour
crois que maintenant c'est le moment de prier." Elle récite l'acte de contrition à haute voix, puis s'adresse à la Sainte Vierge, l'appelle au secours et sortant son chapelet, elle se met à le réciter. Entre-temps
mission – celle de fonder l’Institut Pontifical pour les Études sur le Mariage et la Famille –, j’adressais une lettre à Sœur Lucie de Fatima (Portugal). À ma grande surprise, je recevais quelques jours
monde y a accès ». Le cardinal Parolin a fait remettre à chacun un chapelet leur recommandant de « s’adresser avec confiance » à la Vierge Marie : « Le chapelet est une prière simple mais puissante » et «
l'Enfant Jésus, est dressé comme un signe attirant sur lui la contradiction, et toi-même, ajoutait-il s'adressant à Marie, un glaive de douleur te transpercera l'âme (Lc 2. 34-35). Vraiment, ô bienheureuse Mère
