d'amertume ; le Père et le Fils un même trône, la Mère et le Fils une même croix. Si on perce sa tête d'épines, Marie est déchirée de toutes leurs pointes ; si on lui présente du fiel et du vinaigre, Marie en
d'amertume ; le Père et le Fils un même trône, la Mère et le Fils une même croix. Si on perce sa tête d'épines, Marie est déchirée de toutes leurs pointes ; si on lui présente du fiel et du vinaigre, Marie en
Dieu je dois aller par le chemin de la souffrance solitaire, Par un étroit sentier, tout encombré d’épines.
Dieu je dois aller par le chemin de la souffrance solitaire, Par un étroit sentier, tout encombré d'épines.
vitrail. Ne chantez pas et faites se taire Les enfants au berceau, Ne laissez traîner à terre Ni l'épine, ni le roseau. Ne riez pas, de peur qu'elle entende ; Ne plantez pas de clous, Car sa peine est vraiment
n de toutes choses. Jésus, le jardinier de ce monde, t'a rencontrée comme une rose au milieu des épines, dans les vallons de cette terre, ô Vierge sans tache ! et ayant daigné naître de ton sein, il nous
Dieu je dois aller par le chemin de la souffrance solitaire, Par un étroit sentier, tout encombré d’épines. » (1) Maria Razusova Martakova est une poétesse et écrivain slovaque (1905-1964) (2) Thymian : nom
entier. Un bas-relief de plâtre peint, représentant la Vierge Marie et son Cœur Immaculé couronné d'épines et enflammé (tout comme à Fatima), se trouvait dans une humble maison, à la tête du lit des époux
levé le Christ Dieu, Soleil de justice, ô brillante Porte de la lumière ! Comme le lis entre les épines, Ainsi entre les jeunes filles vous êtes la vierge bénie. Votre vêtement brille blanc comme la neige
levé le Christ Dieu, Soleil de justice, ô brillante Porte de la lumière ! Comme le lis entre les épines, Ainsi entre les jeunes filles vous êtes la vierge bénie. Votre vêtement brille blanc comme la neige