témoignage sur les apparitions de Marie, donné à son directeur spirituel, à Paris en 1830 : « Catherine entendit aussi une Voix intérieure qui lui disait : "Ces rayons sont les symboles des grâces que Marie obtient [...] "Ô Marie, conçue sans péchés, priez pour nous qui avons recours à vous." Catherine ajoute avoir entendu : "Je répands ces grâces sur qui les demande." Elle me fit comprendre combien il était agréable de
le 13 octobre 1973, dans la chapelle du couvent : « Comme Je vous l'ai dit, si les hommes ne se repentent pas et ne s’amendent pas par eux-mêmes, le Père infligera un châtiment terrible à toute l'humanité [...] pressera de nombreux prêtres et des âmes consacrées à quitter le service du Seigneur. (…)Si les péchés augmentent en nombre et en gravité, il ne sera plus question de pardon pour eux. Parle avec courage à ton
étape donnée à notre liberté pour choisir Dieu. J’ai acquis en même temps une nouvelle manière d’entendre l’Écriture. J’éprouvais le désir d’une vie d’entraide et de prière, une aspiration à la paix, à
voici la plus courante : « Souvenez-vous, ô Très miséricordieuse Vierge Marie, qu’on n’a jamais entendu dire qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance ou réclamé
une pause, il sort son chapelet et se met à prier.. . « Je n'ai aucun doute sur le fait que Dieu entend nos prières. Ce que Jésus aimait le plus était de guérir les malades, et je suis témoin de Sa présence
d’élever avec moi vers le Seigneur le cri de notre prière. Prier, c’est déjà espérer. Lorsque vous entendez sonner les cloches de la Messe, joignez-vous au prêtre qui offrira le Sacrifice du Seigneur pour
quotidienne, fixés dans le Christ par l’ancre de l’espérance, nous souvenant que « personne n’a entendu dire que ceux qui se sont appuyés sur l’intercession maternelle de la Vierge Marie aient été déçus
vous priez, ne multipliez pas de vaines paroles comme font les païens, qui pensent qu'ils seront entendus en parlant beaucoup » (Mt 6,7). Il est possible de réciter le chapelet de cette manière erronée
s à ma première messe ce jour-là, tout au fond de l’Église. La célébration terminée, je me suis entendu dire au prêtre : "C’est bien Jésus sur l’autel n’est-ce pas ?". C’était vraiment Lui ! En une nuit
n'essayons pas de persuader les gens par rapport aux faits miraculeux qui se sont passés ici. Ils le ressentent eux-mêmes quand ils viennent. La preuve en est que ce n'était autrefois qu'un pré pour les vaches