bienheureux qui doit donner à la terre son Sauveur et aux hommes la pierre angulaire qui les réunira dans une seule famille.
à l'intention du Cardinal de la Rochefoucauld. Car ces trois neuvaines étaient désormais devenues une affaire d'Etat.
la prostration de la foule dévote à l'église, quand un clerc prononce le nom de Marie. C'est comme une datte pleine de douceur et douce en nous... Douce est l'image de Marie, que les artistes font avec
l'évêque : « Confessez-moi, dit-il : maintenant je crois que je vais mourir ». Peu après, purifié une dernière fois, il mourrait plein de joie et de confiance.
située entre nous, vivants sur la terre d'exil, et le Christ glorieux déjà dans le ciel. Il y a donc une conscience de la fonction médiatrice de Marie. Humbert dit : "nec de poenis hujus mundi ad gaudia coeli
Christ, à l'extérieur de la porte, au Nord, sur le chemin de Cédar où il resta pendant un jour et une nuit sur la terre, sans sépulture, pour devenir, - selon l'ordre impie du Grand Prêtre - la proie des
hâte à nouveau, pour rassembler les Apôtres. Les évènements si déroutants auraient pu les disperser une fois encore. Mais Marie est celle qui contemple. Elle voit, au-delà des apparences. Elle est celle
immense « M » sur le pays. Ce pèlerinage à pied, derrière la Vierge Notre-Dame-de-France, portée par une calèche à cheval, est passé par deux routes différentes : - alors que la calèche de la route Ouest
(commune du Centre de la France), le samedi 9 septembre 1876, Estelle Faguette (1843-1929) reçut une 9e visite de la Sainte Vierge qui lui apparut à la fin de son chapelet. Nul doute que la pauvre Estelle
son rôle dans le mystère du Christ et celui de l’Église. Le pape Paul VI, qui nourrissait d’ailleurs une profonde dévotion envers la Mère de Dieu, y voyait « la synthèse de doctrine mariale la plus ample