Fils en elle, elle en qui il avait établi le premier autel. Marie, la seule qui pouvait affirmer d'une confiance absolue : « ceci est mon corps », à partir de ce premier moment a offert son propre corps
s'unissent, et proclament le premier et le dernier terme de la mission du Fils de Dieu : au début, une Vierge-Mère ; au dénouement, un tombeau scellé rendant son captif.
oblige d'aimer nos corps convenablement, » en tant qu'ils sont requis aux bonnes oeuvres, qu'ils font une partie de notre personne, et qu'ils seront participants de la félicité éternelle.
au curé et aux notables. On décida de creuser le sol au lieu marqué, ce qui amena la découverte d'une statue de la Très Sainte-Vierge. L'image fut aussitôt portée à l'église paroissiale mais le lendemain
spécial de sa présence au Calvaire et son union parfaite à son Fils dans ses souffrances suggèrent une participation très particulière au mystère de la résurrection.
du Seigneur, qu'il m'advienne selon ta parole" (Lc 1, 38). A travers ces paroles, Marie se révèle une vraie fille d'Abraham et devient la Mère du Christ et la Mère de tous les croyants.
port du salut, et qu'au milieu de tant de périls, l'Eglise et la société chrétienne chantent encore une fois l'hymne de la délivrance, de la victoire et de la paix.
plus rien pour Marie Mère de Dieu dans le trésor de ses Ecritures, et elle emprunte pour ainsi dire d'une autre Marie l'Evangile de la divine contemplation. Que dirons-nous donc à ceux qui inventent tant de
C'est donc avec raison que cet homme juste, pour n'être pas réduit à mentir ou à exposer au blâme une innocente, voulait en secret renvoyer Marie.
choses en elle, la sainte Vierge, si humble, si pauvre, si peu considérée, apprend de l'Esprit Saint une précieuse sagesse : elle apprend que Dieu est un Seigneur dont l'unique préoccupation est d'élever