Kirche: Fest Unserer Lieben Frau vom Myrrhegarten – Deutschland: Gründung Schönstatts durch P. Joseph Kentenich (1914) Kolumbien wurde im September Unserer Lieben Frau vom Rosenkranz geweiht Während seines P [...] wurde die Ikone in Prozession zur Kathedrale getragen, wo sie bis zum 7. September blieb. Die Präsidentengarde war für die Sicherheit des Bildes zuständig. Die Ikone Unserer Lieben Frau vom Rosenkranz von

Fest Unserer Lieben Frau vom Garten der Myrrhe – Deutschland: Gründung Schönstatts durch P. Joseph Kentenich (1914 ) In den Vereinigten Staaten gibt es einen „Rosenkranz-Kreuzzug“ Robert Renaud, ein Gemei

18 octobre – S. Luc, Évangéliste – Allemagne : Fondation de Schönstatt par le P. Joseph Kentenich (1914 ) Marie, le grand moule de Dieu pour former notre âme Marie est le grand moule de Dieu, fait par

. Fête de Notre-Dame du Jardin de Myrrhe - Allemagne. Fondation de Schönstatt par le P. Joseph Kentenich (1914 ) Comme toute Paternité est en Dieu Comme toute Paternité est en Dieu, toute maternité est

. Fête de Notre-Dame du Jardin de Myrrhe - Allemagne. Fondation de Schönstatt par le P. Joseph Kentenich (1914 ) - Saint Luc L'historicité de l'Evangile de l'enfance selon Saint Luc (I) L'évangile de l'enfance

. Fête de Notre-Dame du Jardin de Myrrhe - Allemagne. Fondation de Schönstatt par le P. Joseph Kentenich (1914 ) Frère Thèodore face à l'ennemi En 1812, Frère Théodore, moine de Sept-Fons, fait partie

Notre Seigneur Jésus-Christ, Anne-Catherine Emmerich raconta ce qui suit, le 26 décembre 1822 : J'entends souvent la sainte Vierge raconter à des femmes qui ont sa confiance, par exemple, à Jeanne Chusa [...] par une illumination intérieure, soit par ce que lui en a dit sainte Anne. Ainsi, je l'ai souvent entendue raconter à Suzanne et à Marthe que, pendant qu'elle portait Notre-Seigneur dans son sein, elle n'avait

statues : Ô ma bonne Mère, me voici de nouveau prosternée à vos pieds. Vous ne pouvez pas refuser de m’entendre. Vous n’avez pas oublié que je suis votre fille et que je vous aime. Accordez-moi donc de votre

personne qui était dans la pièce voisine de venir m'aider à la relever. Son bras était déjà froid. Et j'entendis Marthe me dire : « Il m'a tuée». (1) En 1936, Marthe confie cette prophétie concernant la France

Ulric, évêque d’Augsbourg. Or vers minuit, pendant l’office de nuit : « Conrad, évêque de Constance, entend tout à coup des voix harmonieuses remplissant la nef (…) Il leva les yeux et aperçut un chœur d’anges [...] face de l’autel, sur un trône éclatant de lumière, était assise l’auguste Reine du Ciel. (…) On entendit résonner sous la voûte une voix mystérieuse (...) : "Cessez, mon frère, cessez : la chapelle a été