est partie.» «Nous avons repris le même chemin, toujours tout allumé, et cet enfant était toujours sur ma gauche. Je crois que cet enfant était mon ange gardien, qui s'était rendu visible pour me faire [...] fondateur le choque. Flatterie déguisée sous les dehors d'une mission! Enfin cette prophétie de malheur sur une nouvelle révolution lui pareit invraisemblable. Le transfert des reliques de Monsieur Vincent a
entrailles que je mettrai sur le trône fait pour toi » (Ps 132,11) ou aux prophéties de Samuel à David, rappelées par Etienne : « C'est quelqu'un issu de ton sang que je mettrai sur ton trône » (1 Sa 18,2
avec mépris sur la route. Mais depuis lors, je suis toujours malheureux et je me crois maudit. Le prêtre très ému lui-même demanda : "En quel mois et quelle année, cela s'est-il passé ? Sur la réponse précise
cathédrale de Montréal. Depuis, elle n’a cessé d’exsuder cette huile mystérieuse. On la recueille sur du coton, que l’on divise et partage entre les fidèles. Il suffit d’un petit morceau de coton pour
sentir que c’était vraiment elle qui m’avait souri et qui m’avait guérie. J’ai compris qu’elle veillait sur moi, que j’étais son enfant, aussi je ne pouvais plus lui donner que le nom de "Maman" car il me semblait
partie. Elle était toute blanche, ceinte d’une écharpe bleue, le manteau bleu aussi, une couronne sur la tête. De toute sa personne rayonnait une lumière inconcevable. “Je suis la Reine du Ciel et de la
(1640) Les larmes de Marie (I) Les larmes de la Mère des Douleurs remplissent l'Ecriture et débordent sur tous les siècles. Toutes les mères, toutes les veuves, toutes les vierges qui pleurent n'ajoutent rien
sa chasteté. Elle avait donc, à cette heure-là aussi, en vierge très prudente qu'elle était, fermé sur elle sa demeure, - fermé aux hommes, non pas aux anges. Aussi l'ange put-il pénétrer chez elle, mais
libellule des étangs, la forêt d’érable en automne, et même certaines luisances de la lune de novembre sur l’asphalte. Tu es un appliqué, un perfectionniste, inlassablement Tu retouches l’univers. Toi qui as
traduit un poème de Maria Razusova Martakova (1) , qui dit sa tristesse de ne plus pouvoir s’appuyer sur Marie dans son pèlerinage terrestre : « Cette certitude gît dans mon cœur, Et Dieu sait combien le