alors le nom de « Marie » à « Marguerite ». « J'allais à elle avec tant de confiance qu'il me semblait n'avoir rien à craindre sous sa protection maternelle. Je me consacrai à Elle pour être à jamais son esclave [...] les grâces sanctifiantes et salutaires nécessaires pour les retirer de l'abîme de perdition ; et je t'ai choisie comme un abîme d'indignité et d'ignorance pour l'accomplissement de ce grand dessein, afin
Dieu qui me dit : Oh! combien l’âme qui suit fidèlement le souffle de la grâce est agréable à Dieu; j’ai donné au monde le Sauveur, et toi tu dois parler au monde de Sa grande miséricorde et préparer le monde [...] de la pitié; si tu te tais maintenant tu répondras en ce jour terrible pour un grand nombre d’âmes. N’aie peur de rien, sois fidèle jusqu’à la fin, je compatis avec toi (P. J. 635). Source : https://www
message de Marie reçu par sœur Agnès le 13 octobre 1973, dans la chapelle du couvent : « Comme Je vous l'ai dit, si les hommes ne se repentent pas et ne s’amendent pas par eux-mêmes, le Père infligera un châtiment [...] tombera du ciel et va faire disparaître une grande partie de l'humanité, les bons comme les mauvais, n'épargnant ni les prêtres ni les fidèles. (…) Les seules armes qui vous resteront, seront le rosaire [...] Jonas (chap 3 et 4) annonçant la destruction de Ninive si la ville ne se convertissait pas. Or Ninive n’a pas été détruite car son peuple s’est converti, le roi en tête… Au moment de prendre sa retraite,
Christ, d'anges et de défunts. Ainsi le 25 mars 1936 : « Soudain je vis la Mère de Dieu qui me dit : J'ai donné au monde le Sauveur. Et toi, tu dois parler au monde de Sa miséricorde et préparer le monde à [...] seconde venue de Celui qui viendra, non comme Sauveur Miséricordieux, mais comme Juste Juge [...]. N'aie peur de rien, sois fidèle jusqu'à la fin. » (Journal, 251). Ou quelques mois plus tard : « Je la [...] Reine du Ciel et de la terre, mais surtout votre Mère. » Elle me serra contre son Cœur et dit : « J'ai compassion de toi. » » (Journal, 804). (1) Qui est sœur Faustine ? Extraits par F. Breynaert, pour
un grand rôle dans sa conversion. « Quand j'ai commencé à prier le Rosaire plus sérieusement, je me suis mis à sentir plus de paix et de joie que je n'en ai jamais ressenti dans ma vie. Des choses étonnantes [...] 6 septembre – Italie : Notre-Dame des Larmes (1553) « J'ai su de façon certaine que la Mère de Jésus était avec moi » Est-ce que les jeunes d'aujourd'hui reçoivent toujours la puissance de l'Esprit Saint [...] devons être parfaits avant de pouvoir devenir saints et nous rapprocher de Dieu. Non, dit-il, « nous n'avons même pas besoin de changer pour aller vers Dieu. Nous allons vers Dieu et il nous change. Nous
ô mon Dieu, vous n'en aviez pas Pour parler aux gens perdus d'ici-bas... Ta bouche de lait vers mon sein tournée, Ô mon Fils, c'est moi qui te l'ai donnée. De main, ô mon Dieu, Vous n'en aviez pas Pour [...] c'est moi qui te l'ai donnée. De chair, ô mon Dieu, Vous n'en aviez pas Pour rompre avec eux le pain du repas... Ta chair au printemps de moi façonnée, O mon Fils, c'est moi qui te l'ai donnée.
piscines, puis devant la Grotte, mais rien n'y faisait. J'ai dû être hospitalisée de nouveau. J'ai conservé sur moi une image de la Vierge. A ma grande stupeur, j'ai été guérie. C'était un 25 mars. Jamais [...] profondément dépressive, j'ai vécu un enfer intérieur difficile à décrire. J'ai dû être hospitalisée. Ma dépression a duré deux ans et demi. Une personne m'a conduite à Lourdes. Je n'arrivais pas à prier. Je [...] confessée régulièrement. J'ai reçu le sacrement de confirmation. J'ai repris mes études et fait l'école d'infirmière, puis je me suis mariée avec un homme profondément croyant avec qui j'ai eu trois beaux enfants
Dieu, je n'en avais pas, (...) Mais vous, Tout-puissant, me l'avez donné. De bouche, ô mon Dieu, vous n'en aviez pas pour parler aux gens perdus d'ici-bas. (...) Ô mon Fils, c'est moi qui te l'ai donnée [...] donnée. De main, ô mon Dieu, vous n'en aviez pas pour guérir du doigt leurs pauvres corps las. (...) Ô mon Fils, c'est moi qui te l'ai donnée. De chair, ô mon Dieu, vous n'en aviez pas pour rompre avec eux le [...] le pain du repas. (...) Ô mon Fils, c'est moi qui te l'ai donnée.
connaissance, mais tous les trois étaient absents. Le coeur gros, j'ai dû quitter mon enfant pour prendre le service de nuit. En vous voyant, je n'avais, dans mon désespoir qu'une idée : sauver mon enfant. - [...] comment avez-vous su que j'étais médecin ? - Mais c'était écrit sur votre coffre. - c'est vrai, je n'y ai pas pensé." La mère interrompt la conversation et dit : "- Je ne sais pas si vous êtes croyant, mais
connaissance, mais tous les trois étaient absents. Le coeur gros, j'ai dû quitter mon enfant pour prendre le service de nuit. En vous voyant, je n'avais, dans mon désespoir qu'une idée : sauver mon enfant. - [...] comment avez-vous su que j'étais médecin ? - Mais c'était écrit sur votre coffre. - c'est vrai, je n'y ai pas pensé." La mère interrompt la conversation et dit : "- Je ne sais pas si vous êtes croyant, mais