était vêtu d'une petite chemise blanche et ses petites mains croisées sur sa poitrine. Puis, je ne L'ai plus vu.... Revenue à ma place, la Sainte Vierge s'est de nouveau approchée tout près de moi. Elle
esprit, je me dis : "Mon Dieu ! Dans quel état suis-je ? Comment vais-je offrir le divin Sacrifice ? Je n'ai pas assez de liberté d'esprit pour consacrer. Ô mon Dieu, délivrez-moi de cette malheureuse distraction
aime qu’on se présente à lui les mains vide et qu’on le supplie en disant : “ Je n'ai rien, veuillez me nourrir. ” J'ai passé une grande partie de ma vie sans prier parce que je savais que je priais mal
les grâces sanctifiantes et salutaires nécessaires pour les retirer de l'abîme de perdition ; et je t'ai choisie comme un abîme d'indignité et d'ignorance pour l'accomplissement de ce grand dessein, afin
Dieu qui me dit : Oh! combien l’âme qui suit fidèlement le souffle de la grâce est agréable à Dieu; j’ai donné au monde le Sauveur, et toi tu dois parler au monde de Sa grande miséricorde et préparer le
sur la Terre. Au Saint Sacrement, nous voyons ce que Siméon proclamait lors de la Présentation : « J'ai vu de mes propres yeux ton Salut, que tu as préparé devant tous les peuples : lumière pour éclairer
amis soit venu visiter sa vieille maman et lui ait offert un bouquet de fleurs. « Depuis ce jour, j’ai mieux compris la dévotion mariale. Quand nous nous tournons vers Marie, nous pouvons faire grand plaisir
suite du père de Montfort et de Jean-Paul II : « Je suis tout à toi, ma Reine, ma Mère, et tout ce que j’ai t’appartient. » Adapté de Corentin Dugast
Dieu, soyez humbles, simples et petits et laissez-vous guider par moi, votre céleste Maman, car je n'ai qu'un désir et qu'un seul but, vous amener dans la félicité éternelle à mon Fils et à Dieu... » Extrait
message de Marie reçu par sœur Agnès le 13 octobre 1973, dans la chapelle du couvent : « Comme Je vous l'ai dit, si les hommes ne se repentent pas et ne s’amendent pas par eux-mêmes, le Père infligera un châtiment