âme lâche et misérable, presque inexistante ? Oh, tu pourras sauver, toi qui as sauvé du supplice éternel notre père Adam et notre mère Eve ! »
et vain, elle offre le témoignage de sa féconde virginité. A un monde vieilli, elle apporte son éternelle jeunesse.
Père, que toute âme chaste et pudique qui conserve sa pureté et son innocence, conçoit la Sagesse éternelle en elle-même, et qu'elle est remplie de Dieu et de sa grâce, à l'imitation de Marie. »
pleure avec vous, tout en connaissant la joie certaine de votre Fils et le don qu'il fait de la vie éternelle. A travers son acte, vous êtes devenu notre mère de consolation. Amen.
Quand une fois nous sommes pénétrés de cette idée que Marie a porté, allaité, tenu dans ses mains l'Eternel, sous la forme d'un petit enfant, quelles limites pouvons-nous assigner au flot, au torrent de pensées
fidèles ; mais il faut qu'il lui en coûte la mort de son premier-né, il faut qu'elle se joigne au Père éternel, et qu'ils livrent leur commun Fils d'un commun accord au supplice. C'est pour cela que la Providence
nous le voulons, car il faut poser un acte libre en ce sens, est proposée une destinée divine et éternelle. Mais nous ne le savons pas toujours clairement. Nous nous engageons dans les méandres de la vie [...] compte, c’est de terminer dans les bras du Père, c’est de se retrouver dans son Royaume de vie éternelle, qui sauve ! Dans le Royaume il n’y aura que des repêchés par le Sauveur. Cependant, il y a un être
II écrivit le 15 août 1988 au sujet de Marie : « Au début de la Nouvelle Alliance, qui doit être éternelle et irrévocable, il y a une femme : la Vierge de Nazareth.» Et au sujet de Joseph, le 15 août 1989 [...] tout le patrimoine de l’antique alliance, a été lui aussi introduit au début de la nouvelle et éternelle alliance, en Jésus-Christ.» Grâce donc au « oui » d’une femme (Marie) et au « oui » d’un homme (Joseph)
levaient pas les yeux vers Dieu et ne savaient pas lire les paroles qu’il trace – qu’il en soit éternellement béni – avec des astres de feu sur la voûte des cieux. Eux, ils l’avaient vue et s’étaient efforcés [...] propre langue, et en comprenant et pouvant parler la langue du pays traversé, par quelque miracle de l’Éternel. Maria Valtorta, L’Évangile tel qu’il m’a été révélé Ancienne édition : Tome 1, chapitre 56 ; Nouvelle
et vain, elle offre le témoignage de sa féconde virginité. A un monde vieilli, elle apporte son éternelle jeunesse. H. Engelmann Extrait de son livre « J’ai perdu la foi » p. 91