Chère mère, avant que vous puissiez devenir consolatrice de l'affligé, vous avez dû vivre d'abord la vraie douleur. Je fais une pause avec vous maintenant, et je médite sur la grande douleur dans votre vie, la mort et l'ensevelissement de votre fils bien-aimé. Ah, je suis tout humble, chère Marie, quand je vois devant moi votre fils dans le tombeau. Il a donné sa vie pour que nous soyons libres du péché. Rappelez-moi toujours que n'importe quelle douleur dans ma vie passe, tout comme la douleur que vous avez éprouvée a été transformée dans la joie de la résurrection. Marie très sainte, mère des douleurs, je pleure avec vous, tout en connaissant la joie certaine de votre Fils et le don qu'il fait de la vie éternelle. A travers son acte, vous êtes devenu notre mère de consolation. Amen.