et viens ! Car déjà est passé l'hiver de mon absence, la pluie de tes larmes s'en est allée et a cessé. Au retour du soleil, les fleurs angéliques paraissent pour toi. Ta voix, ô très chaste colombe, a
Vierge Marie ! Vous dont la vie (...) a été une perpétuelle ascension d'amour, aidez-moi à monter sans cesse dans la voie de la divine perfection, non pas d'un seul coup, ni dans une vision d'extase, mais jour
levain qui peut régénérer la Terre. La douce Reine du Ciel ne peut oublier ses enfants qui, sans cesse, répètent ses louanges. Le Rosaire monte comme l'encens au pied du trône du Tout-Puissant. Marie le
comme le soleil. Jardin fermé, Fontaine scellée, Mère de Dieu et Paradis de la grâce ! La pluie a cessé et disparu, l'hiver s'en est allé et déjà les fleurs ont apparu. Sur notre terre une voix s'est fait
Pauvres, tu es venue il y a bien longtemps, en ce coin sauvage et solitaire, et depuis lors tu n'as cessé de venir, tu fais des signes à chacun de nous, tu nous appelles sur le chemin. Tu nous souris, tu
L’icône est alors solennellement amenée dans la petite cathédrale de Montréal. Depuis, elle n’a cessé d’exsuder cette huile mystérieuse. On la recueille sur du coton, que l’on divise et partage entre
l’économie surnaturelle, vers lequel tout converge et d’où se répand en surabondance la Vie, une Vie sans cesse renouvelée ! Merci encore à vous, Vierge Marie, dont le Fiat si indispensable nous a valu ces sublimes
comme le soleil. Jardin fermé, Fontaine scellée, Mère de Dieu et Paradis de la grâce ! La pluie a cessé et disparu, l'hiver s'en est allé et déjà les fleurs ont apparu. Sur notre terre une voix s'est fait
Pauvres, tu es venue il y a bien longtemps, en ce coin sauvage et solitaire, et depuis lors tu n'as cessé de venir, tu fais des signes à chacun de nous, tu nous appelles sur le chemin. Tu nous souris, tu
L'icône est alors solennellement amenée dans la petite cathédrale de Montréal. Depuis, elle n'a cessé d'exsuder cette huile mystérieuse. On la recueille sur du coton, que l'on divise et partage entre