L’on ne peut se lasser d’admirer, ô Trinité sainte, l’éclatante manifestation de votre infinie Grandeur, de votre Sagesse, de votre Amour ! … Nos pauvres intelligences humaines, livrées à elles-mêmes, n’auraient jamais pu rêver une telle Rédemption, nos cœurs n’auraient jamais osé croire à un tel Amour ! … Dans l’étonnement et le ravissement de votre lumière je ne me lasse pas d’admirer votre œuvre ineffable, ô mes Trois Bien-Aimés ! … Et pour crier "merci", je m’unis à tous les anges et à tous les saints, mais surtout à ma chère et si tendre Mère, car ils voient et comprennent ce que nous ne savons que balbutier. A vous, ô Jésus, tout mon "merci", toute ma reconnaissance et mon amour, pour votre divine Eucharistie, centre de toute l’économie surnaturelle, vers lequel tout converge et d’où se répand en surabondance la Vie, une Vie sans cesse renouvelée ! Merci encore à vous, Vierge Marie, dont le Fiat si indispensable nous a valu ces sublimes réalités !