de Marie, son excellente dignité, sa préservation de toute tache du péché et sa glorieuse victoire sur le cruel ennemi du genre humain. Cette éclatante et incomparable victoire de la Vierge, cette innocence [...] s'éleva de la terre jusqu'au ciel, dont les anges de Dieu montaient et descendaient les degrés, et sur le sommet de laquelle s'appuyait Dieu lui‑même (Gn XXVIII, 12) ; soit dans ce buisson ardent que Moïse
rapports sexuels. Si cette seule abstention la constituait, elle serait suspecte et pourrait se fonder sur l'idée d'une souillure attachée à l'usage même de la chair. Il est possible qu'il y ait quelque idée [...] elle devait y renoncer pour s'unir davantage aux autres et à Dieu. Comme le suggère la pensée juive sur l'offrande des prémices, le meilleur usage que l'on puisse faire de la meilleure des choses est de
l'histoire je te confie, ô Mère, tous les polonais parce que de chacun d'eux dépend la persévérance sur la voie du renouveau, de la justice, de la paix. Mère de nos coeurs ! Fais que de ces paroles jaillisse [...] pleine d'espérance : « Le cardinal August Hlond qui avait pour toi une telle vénération a prononcé sur son lit de mort ces paroles : "la victoire, quand elle viendra, viendra par Marie". »
fut vite interrompue par le martyre, mais la mort de ces premiers apôtres fit une telle impression sur le peuple, que le sultan dut autoriser l’ouverture d’une église : ce fut Sainte-Marie de Marrakech
du Paradis, cet arbre dont le fruit répand l'allégresse en tous les cœurs. Non, jamais il n'y eut sur la terre un arbre semblable et si précieux ; jamais aussi nous ne le verrons disparaître du milieu
fut vite interrompue par le martyre, mais la mort de ces premiers apôtres fit une telle impression sur le peuple, que le sultan dut autoriser l'ouverture d'une église : ce fut Sainte-Marie de Marrakech
qu'un enfant puisse chérir sa mère Qu'elle pleure avec lui, partage ses douleurs O ma Mère chérie, sur la rive étrangère Pour m'attirer à toi, que tu versas de pleurs !...." En méditant ta vie dans le saint
l'Enfant-Jésus. Voilà toute leur occupation. Ils étaient en oraison devant le Saint-Sacrement exposé sur l'autel de la crèche. Ils bénissaient, ils remerciaient le bon Dieu qui, par amour pour nous venait
providentiel de vos grâces serait vos saints parents, que vos bienfaits descendraient habituellement sur nous dans l'ordre surnaturel par Marie d'abord, puis par Joseph. Ainsi, Seigneur, vous nous donnez
société civile si la société domestique, principe de fondement de la Communauté humaine, ne repose pas sur les lois de l'Evangile. Pour atteindre un but aussi difficile, nous affirmons qu'il n'y a pas de moyen