sens de ma vie. La mort, c’est la grâce des grâces, et le couronnement de notre vie chrétienne. Elle n’est pas une fin, comme, hélas, encore trop le pensent, mais le commencement d’une belle naissance. "Pour [...] la mort sera de dissiper le voile d’ombre qui me cache une si adorable merveille. "Tout passe", il n’y a que Dieu et l’âme qui soient immortels.
sens de ma vie. La mort, c'est la grâce des grâces, et le couronnement de notre vie chrétienne. Elle n'est pas une fin, comme, hélas, encore trop le pensent, mais le commencement d'une belle naissance. "Pour [...] la mort sera de dissiper le voile d'ombre qui me cache une si adorable merveille. "Tout passe", il n'y a que Dieu et l'âme qui soient immortels.
réside en même temps dans l'intelligence et dans la volonté, parce qu'il répand dans l'âme lumière et chaleur, vérité et amour. Il résume tous les autres dons, comme la charité résume en soi toutes les autres [...] Comme Marie a reçu une participation large de la vertu de la charité divine, elle posséda plus que n'importe quelle autre créature, avec une perfection incomparable, le don de sagesse. Par ce don, elle [...] divines des choses humaines. Cette sagesse céleste remplit son âme d'une douceur infinie, car, "il n'y a rien d'amer en parlant avec la sagesse, et cohabiter avec elle ne produit pas l'ennui mais la consolation
réside en même temps dans l'intelligence et dans la volonté, parce qu'il répand dans l'âme lumière et chaleur, vérité et amour. Il résume tous les autres dons, comme la charité résume en soi toutes les autres [...] Comme Marie a reçu une participation large de la vertu de la charité divine, elle posséda plus que n'importe quelle autre créature, avec une perfection incomparable, le don de sagesse. Par ce don, elle [...] divines des choses humaines. Cette sagesse céleste remplit son âme d'une douceur infinie, car, "il n'y a rien d'amer en parlant avec la sagesse, et cohabiter avec elle ne produit pas l'ennui mais la consolation
Et si le Fils de Dieu eût voulu être et souffrir au monde sans y prendre naissance d'une femme, il y aurait des enfants de Dieu, mais il n'y aurait point de Mère de Dieu ni en la Terre, ni au Ciel. Cardinal
familles et parmi les peuples où la pratique du Rosaire est restée en honneur comme autrefois, il n'y a pas à craindre que l'ignorance ou le poison de l'erreur détruise la foi. (...) Pour préserver ses
ressuscité. Comme dans l'arbre et dans le fruit attaché à l'arbre, il n'y a qu'une vie continue, qui est répandue dans les deux; de même il n'y eut jamais dans la Mère et dans le Fils qu'une même vie intérieure
croirai au miracle seulement si vous me prouvez qu’une jambe coupée peut repousser : ceci n’est jamais arrivé et vous n’y parviendrez pas. » Parole imprudente d’un grand savant athée, car ce miracle impensable
Le Rosaire n'aurait-il consisté qu'à réciter beaucoup d'Ave répartis d'une manière suffisamment variée pour tenir l'attention éveillée et en renouveler le goût, les Souverains Pontifes n'y eussent pas
croirai au miracle seulement si vous me prouvez qu'une jambe coupée peut repousser : ceci n'est jamais arrivé et vous n'y parviendrez pas. » Parole imprudente d'un grand savant athée, car ce miracle impensable