Joseph, premiers modèles du bel amour Notre société s'est détachée de la vérité plénière sur l'homme, de la vérité sur ce que sont l'homme et la femme comme personnes. Par conséquent, elle est incapable de
souvent notre esprit et notre coeur vers la Trinité, à fixer sur elle notre respectueuse et affectueuse attention. Et puisque tu chemines avec nous sur le chemin de la vie éternelle, ne demeure pas étrangère
descend sur Lui pour l'investir de la mission qui l'attend. La révélation qui, au moment du Baptême au Jourdain, est donnée directement par le Père et dont le Baptiste se fait l'écho, est sur les lèvres
Civitavecchia Début février 1995, une fillette de cinq ans, Jessica Gregori remarque des larmes de sang sur le visage d'une statue, acquise dans une boutique du sanctuaire de Medjugorje en Bosnie-Herzégovine [...] l'église de Saint-Augustin. Et, alors que le Vatican ne s'est toujours pas officiellement prononcé sur le miracle, d'innombrables pèlerins viennent vénérer "la Madone de Civitavecchia".
les Turcs s'enfuirent en laissant sur place 10 000 morts. Ils racontèrent qu'ils avaient vu plusieurs fois une figure de femme dans un halo de lumière, qui marchait sur leurs bastions. On dit que la Croatie
fallait un silence sur lequel retentir. Celui qui allait conduire l'humanité, donner sens aux siècles passés, éclairer et entraîner à Sa suite les siècles à venir, devait apparaître sur la scène du monde
souvent notre esprit et notre coeur vers la Trinité, à fixer sur Elle notre respectueuse et affectueuse attention. Et puisque vous cheminez avec nous sur le chemin de la vie éternelle, ne demeurez pas étrangère
Civitavecchia Début février 1995, une fillette de cinq ans, Jessica Gregori remarque des larmes de sang sur le visage d'une statue, acquise dans une boutique du sanctuaire de Medjugorje en Bosnie-Herzégovine [...] l'église de Saint-Augustin. Et, alors que le Vatican ne s'est toujours pas officiellement prononcé sur le miracle, d'innombrables pèlerins viennent vénérer "la Madone de Civitavecchia".
aujourd'hui à beaucoup, je nourrissais quelques réserves sur certaines formules anicennes comme, par exemple, la fameuse De maria nunquam satis - "sur Marie, on ne dira jamais assez". Elle me paraissait exagérée
vu la Mère de Dieu, la Reine du ciel, qui avait sur sa tête une inestimable couronne. Ses cheveux, d'un éclat et d'une beauté admirables, tombaient sur ses épaules. Elle avait une tunique d'or d'une splendeur