laquelle ils sont tombés, réveiller le courage et la charité des cœurs endoloris, leur proposer pour demain la liberté et la paix. » Puis Nicolas indique qu’elle a joint les mains, levé les yeux et a disparu
de mort par pendaison, conformément au code militaire. Juan, les mains et les pieds liés, passe la nuit sans dormir. Son ami, Alfonso Ferrus se glisse sous la tente pour le délivrer. Juan refuse. Il sait
langage, ne rien dire, mais seulement chanter parce qu'on a le cœur trop plein, comme le merle qui suit son idée en ses espèces de couplets soudains. Parce que vous êtes belle, parce que vous êtes immaculée
que je veux, j'en suis incapable. À la seule pensée de le faire, les forces me manquent et la vie me fuit. De grâce, ô Fils, pour que je puisse avoir la force d'effectuer l'amère séparation, permets-moi de
pèlerinage là-bas. C'est ainsi que bien bronzé, allure de touriste, lunettes de soleil sur le nez et appareil photo en main, j'ai débarqué là-bas après une longue route traversant l'Italie, la Slovénie, et
rencontres, et le voilà pris dans les filets sordides de la prostitution. Seule étincelle dans la nuit : sa foi, héritage d’une mère très croyante. N’a-t-il pas été enfant de chœur ? « Je servais la messe
des enfants de Syrie , de la bien-aimée Syrie, martyrisée par une guerre qui dure depuis maintenant huit ans. (…) Prions et aidons les chrétiens à rester en Syrie et au Moyen-Orient comme des témoins de
laquelle ils sont tombés, réveiller le courage et la charité des cœurs endoloris, leur proposer pour demain la liberté et la paix. » Puis Nicolas indique qu’elle a joint les mains, levé les yeux et a disparu
d’apparition, Saint Joseph se manifeste à un berger assoiffé à qui il dit : « Lève ce rocher et tu boiras », révélant une source cachée. Le rocher qu’il faut bouger, c’est notre cœur de pierre durci par
la Sarthe (France), se dresse un vieux chêne qui attire l’attention des paysans de la région : de nuit, ils voient des feux brillants comme des étoiles en couronner la cime. Le jour, l’arbre est animé