crèche où git le Messie-Seigneur. Luc laisse à la prophétie de Siméon sur le glaive de douleur (2, 35) une obscurité qui continue d'embarrasser l'exégèse, alors que la Passion et la Résurrection du Christ auraient
Christ se détache nettement (I) Le Rosaire n'aurait-il consisté qu'à réciter beaucoup d'Ave répartis d'une manière suffisamment variée pour tenir l'attention éveillée et en renouveler le goût, les Souverains
Gardienne de la Porte) Le miracle impensable « Je ne croirai au miracle seulement si vous me prouvez qu'une jambe coupée peut repousser : ceci n'est jamais arrivé et vous n'y parviendrez pas. » Parole imprudente
(III) Il croyait aimer son Maître, et voici qu'il entrevoyait ce qu'un regard contemplatif, ce qu'une âme infiniment pure et donnée, ce qu'un sacrifice entièrement uni à celui du Christ, pouvaient apporter
parole efficace : « ils n'ont pas de vin », afin que le Père et le Fils répandent sur nous, comme dans une nouvelle effusion l'Esprit Saint. Notre Mère depuis toujours, ne te lasse pas de « nous visiter »,
ciel et sur terre, un corps où toute créature sainte de Dieu a sa place et dont la prière est la vie, une fois qu'ils ont pris conscience de la sainteté et de la dignité de la Sainte Vierge, il leur est à
ainsi dire revêtue d'un vêtement de grâce, eux aussi à leur tour auraient reçu ce qu'on peut appeler une conception immaculée. Ils auraient été conçu en état de grâce, alors qu'en fait ils sont conçus dans
Fils de l'homme "n'est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour une multitude" (Mt 20, 28). C'est pourquoi Marie est devenue la première de ceux qui, servant le Christ
» poursuit-il en flairant un complot. « Nous ne savons pas qui sera le roi, mais déjà nous avons une reine. » « Qui est-ce ? » « Notre Dame », (textuellement : « la Mère de Dieu »).
vie de Marie se résume en ce mot : adoration (III) Quand on veut faire un compliment à un père et à une mère, on rappelle l'amour si grand, le dévouement si constant, si généreux qu'ils nous ont témoigné