du Sauveur, qui vit en l’Eucharistie; Marie est la souveraine dispensatrice de ce Sacrement et des grâces qu'il renferme; Marie, en pratiquant la première les devoirs de la vie eucharistique, nous enseigne [...] Jésus-Eucharistie que sur le sein virginal de Marie » (Saint Bonaventure) (cf. Marie médiatrice des grâces eucharistiques). Adoperp
«Mais venez au pied de cet autel. Là, les grâces seront répandues sur toutes les personnes qui les demanderont avec confiance et ferveur : grands et petits. Des grâces seront répandues particulièrement sur
rédemptrice ; avec le Fils, la Mère ; avec l'Auteur de la Grâce, la Médiatrice universelle de toutes les grâces. En adorant ce plan merveilleux, respectons ce que Dieu a inséparablement uni dans le temps et pour
avec son Fils, de multiplier ses instances auprès de lui, pour que les plus abondants ruisseaux de grâces découlent sans interruption de la Tête dans tous les membres du Corps mystique et que son patronage
d'Agreda (IV) Dans le quatrième instant, il fut établi que l'humanité du Verbe recevrait toutes les grâces possibles et que la sainteté, la science, la béatitude et la gloire divine afflueraient dans son
temporelles, non pas même les douceurs de la consolation et de la paix sensible, mais la grâce des grâces qui est, au jour le jour, de disposer notre âme dans la pureté, dans l'abnégation, dans la pratique
d'Agreda (IV) Dans le quatrième instant, il fut établi que l'humanité du Verbe recevrait toutes les grâces possibles et que la sainteté, la science, la béatitude et la gloire divine afflueraient dans son
rzégovine), j’en avais entendu parler, comme "toute bonne petite Chrétienne du dimanche", et les grâces de la Vierge étaient presque palpables autour de moi. On m’avait beaucoup parlé des conversions multiples [...] ma vie. Voilà comment a débuté, à Medjugorje, et encore après, le mini raz-de-marée de Marie ! Les grâces continuent d’opérer, notamment par le chapelet, et à travers des événements vécus en vérité : ré
transférée en l'église Sainte-Thérèse d'Avila de Vilnius en 1671. A la suite de nombreux miracles et grâces, la vénération envers cette image miraculeuse s'est répandue dans toute la Pologne au point qu'en
suprême et aimé par-dessus tout. (...) Plus elle admire la sublime élévation de sa dignité et en rend grâces à la bonté du Dieu puissant et miséricordieux, plus elle s'enfonce dans son humilité, ne s'attribuant