partage ses sentiments, et voilà ce qui m'amène en ce jour au seuil de votre saint asile. » Et le noble chevalier Seliger (Béat) de Wohlhausen, qui avait acquis de grandes richesses au service des empereurs [...] le vrai bonheur au service de Celui qui sait et qui peut seul le donner. Quelques années après, le noble preux, devenu à Einsiedeln le plus humble des fils de saint Benoît, était appelé par les suffrages
Vierge et de l'Enfant. Marie est la Vierge, la Mère, la toute compatissante ; c'est une Dame très noble, mais pauvre, qui a travaillé et souffert comme tous les pauvres. Elle est pour nous une grande soeur
qui est infiniment pure, Parce qu'aussi elle est infiniment douce ... A celle qui est infiniment noble. Parce qu'aussi elle est infiniment courtoise. Infiniment accueillante. Accueillante comme le prêtre
qui est infiniment pure, Parce qu'aussi elle est infiniment douce ... A celle qui est infiniment noble. Parce qu'aussi elle est infiniment courtoise. Infiniment accueillante. Accueillante comme le prêtre
premier sanctuaire marial (1518) Elle était vierge, non seulement de corps, mais d'esprit Quoi de plus noble que la mère de Dieu ? Quoi de plus splendide que celle-là même qu'a choisie la splendeur ? Quoi de
vocation à l’âge de 16 ans Saint Louis de Gonzague (1568 - †20 juin 1591) appartenait à une famille noble espagnole. C’est pourquoi il était tenu de suivre son père à la cour et de prendre part aux différentes
du 15ème siècle relate la "ballade de Walsingham" et explique comment Marie répondit en 1061 à une noble veuve, Lady Richedis, qui désirait l'honorer. La Vierge lui demanda et elle la conduisit par trois
du 15ème siècle relate la "ballade de Walsingham" et explique comment Marie répondit en 1061 à une noble veuve, Lady Richedis, qui désirait l'honorer. La Vierge lui demanda et elle la conduisit par trois
15ème siècle relate la « ballade de Walsingham » (1) et explique comment Marie répondit en 1061 à une noble veuve, Lady Richedis, qui désirait l’honorer. La Vierge la conduisit par trois fois « en esprit »
(+ 1906) Un cadeau n'est pleinement cadeau que s'il est bien reçu (II) Plus le cadeau est riche et noble, plus le récipiendaire doit être "capable" de le recevoir. Si le Père voulait donner le Fils à la