qu'il a d'habiter en vous, et il n'y serait jamais entré, si vous ne lui aviez dit : Voici la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon votre parole (Luc I, 38). N'est-ce pas là une grande preuve de [...] le Dieu tout puissant frappait à votre porte, et si vous ne lui aviez pas ouvert votre volonté, il n'eût pas pris la nature humaine. Ô mon âme, sois remplie de confusion, en voyant que Dieu fait avec toi
e : il n’y a donc aucune raison de se cantonner aux églises ! C’est par la naissance de son Fils, fruit des entrailles de Marie, que Dieu offre à toute l’humanité son Salut et sa rédemption. N’ayons pas [...] pas peur : il nous aidera à renoncer à nous-mêmes et à nous tourner davantage vers lui ! D’ici là, n’oublions pas d’associer à nos prières les tout-petits, innombrables dans le Ciel et ô combien efficaces
accompli. Ce n'est pas la souffrance qui diminue, c'est uniquement le temps de rester dans cette peine. Les âmes qui sont au purgatoire se trouvent sans la coulpe du péché. En conséquence, il n'y a pas d'obstacle [...] Dieu et elles, hors cette peine qui les retarde et qui consiste en ce que leur instinct béatifique n'a pas atteint sa pleine perfection.
Miséricorde. La pratique essentielle de la dévotion à Marie Ce n'est pas assez de s'être donné une fois à Marie, en qualité d'esclave; ce n'est pas même assez de le faire tous les mois, et toutes les semaines: [...] semaines: ce serait une dévotion toute passagère, et elle n'élèverait pas l'âme à la perfection où elle est capable de l'élever. Il n'y a pas beaucoup de difficulté à s'enrôler dans une confrérie, à embrasser [...] esclavage, à l'extérieur; mais j'en ai bien rarement trouvé qui en aient pris l'esprit et encore moins qui y aient persévéré. La pratique essentielle de cette dévotion consiste à faire toutes ses actions avec
charrettes ne savent pas parler sans y mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils. Si la récolte se gâte, ce n'est qu'à cause de vous autres. Je [...] terre, vous n'en avez pas fait cas; c'est au contraire quand vous en trouviez de gâtées, vous juriez, et vous mettiez le nom de mon Fils. Elles vont continuer à se gâter et à la Noël il n'y en aura plus [...] mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Et, pour vous autres, vous n'en faites pas cas. Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que
charrettes ne savent pas parler sans y mettre le nom de mon Fils au milieu. Ce sont les deux choses qui appesantissent tant le bras de mon Fils. Si la récolte se gâte, ce n'est qu'à cause de vous autres. Je [...] terre, vous n'en avez pas fait cas; c'est au contraire quand vous en trouviez de gâtées, vous juriez, et vous mettiez le nom de mon Fils. Elles vont continuer à se gâter et à la Noël il n'y en aura plus [...] mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. Et, pour vous autres, vous n'en faites pas cas. Vous aurez beau prier, beau faire, jamais vous ne pourrez récompenser la peine que
l'église, mais il n'y en avait pas. Elle mit au monde huit enfants. Après 70 ans, son mari mourut, tous ses enfants moururent également dont cinq fils tombés pendant la guerre et, il y a 10 ans, un autre
l'église, mais il n'y en avait pas. Elle mit au monde huit enfants. Après 70 ans, son mari mourut, tous ses enfants moururent également dont cinq fils tombés pendant la guerre et, il y a 10 ans, un autre
miracle de la Vierge, mais en tous cas le cœur des croyants y voit la main toute maternelle de la Vierge, qui intercède pour ses enfants. » « Il n’y avait jamais eu auparavant d’image spéciale pour commémorer [...] et la famine sévissait dans la petite ville : « La température était autour de -40 à -50 °C, et il y avait 2 mètres de neige… essayez de vous nourrir dans des conditions pareilles ! », explique Mgr Sierra [...] commémorer cet événement historique, alors j’ai commandé un tableau pour le représenter. Ce n’est pas Marie elle-même qui donne le poisson, mais c’est l’Enfant Jésus, dans les bras de la Vierge, qui donne le
vous voyant, je n'avais, dans mon désespoir qu'une idée : sauver mon enfant. - Oui, mais comment avez-vous su que j'étais médecin ? - Mais c'était écrit sur votre coffre. - c'est vrai, je n'y ai pas pensé