culte autorisé Marie reçoit le Saint-Esprit (II) Mais il s'en fit encore un plus grand dans Marie, non en passant comme eux de l'état d'imperfection à celui de sainteté; mais en passant d'un sublime degré
entrailles, et ouvrir son cœur maternel par de si cruelles blessures. Elle est donc auprès de son Fils ; non tant par le voisinage du corps, que par la société des douleurs : Stabat juxta crucem : Elle se tient
, elle ne pourrait plus que se donner éternellement en cet Enfant qu'elle avait conçu de l'Esprit non comme l'image glorifiée d'elle-même - mais comme la splendeur de la gloire du Père dans la transparence
les livres savants ! Moi, toute seule dans mon cœur d’enfant, je veux me receuillir pour contempler, non une image, mais la plus vivante et la plus splendide réalité qui, descendue du Ciel, s’est accomplie
(379-381) : « Cette Eglise se distingua des autres églises de la ville, et elle se distingue toujours non seulement par son élégance et par sa grandeur, mais aussi par le bénéfice continu des apparitions visibles
Anges chanter l’ Ave Maria en ce lieu et ils auraient trouvé une statue de Marie, au pied d’un chêne, non loin d’une source. La Vierge vénérée d’Étanche porte d’une main une pomme et de l’autre l’Enfant Jésus
(…) Marie n’a pas eu d’autre fils que Jésus, et si Jésus a dit à sa Mère : « Voici ton fils » et non « voici encore un fils », c’est comme s’il disait : « Voici Jésus, à qui tu as donné le jour ». En
terrestre, elle gardait, elle aussi, une certaine ‘implénitude' et était sujette à des erreurs, mais non à des péchés. On peut le voir dans l'Évangile, lorsque, revenant de Jérusalem, elle ne savait pas où
mortifications, pour effacer au plus vite leurs peines temporelles dues à leurs péchés, pardonnés mais non expiés ici-bas. Ce n'est pas un jour de tristesse ni de deuil : c'est un jour d'ardente supplication
le rôle de la femme dans l'Église ne s'arrête pas à celui de mère, comme travailleuse, limitée... Non ! C'est autre chose !