rachetés par celui qui nous a défaits du joug de la faute. Le Fils du Père la remplit de lui ; l'Esprit Saint la recouvre de son ombre et le chaste sein de la sainte jeune fille ainsi se transforme en Ciel.

vois-tu pas en cette heure le corps mystique tout entier devant toi, celui qui doit croître par ce saint repas ? Ne le reçois-tu pas déjà maintenant en tant que Mère, comme demain au pied de la Croix il

coopéra au salut de l'homme dans la liberté de sa foi et de son obéissance. En fait, comme le dit saint Irénée, "en obéissant, elle est devenue cause du salut pour elle-même et pour tout le genre humain"

dernière ? - Ah ! qu'ils étaient encore charnels, ces disciples - ils n'avaient pas encore reçu l'Esprit Saint, car le Christ n'avait pas encore été glorifié.

particulièrement apte à ranimer l'esprit de piété », c'est que là se vérifie excellemment ce que Saint Louis-Marie Grignion de Montfort exprimait de charmante façon quand il écrivait : « Marie est l'écho

signe d'espérance certaine et de consolation. C'est une grande joie et une grande consolation pour ce saint Concile qu'il ne manque pas de gens, même parmi les frères séparés, pour rendre à la Mère du Seigneur

n 1490. Pauline Jaricot (+ 1862) Je mets ma main dans la vôtre Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Qui suis-je, Seigneur, pour entreprendre de parler du sacrement de votre amour ? Autant de

de s'y avancer, dans le silence et le recueillement de cette demeure où elle s'était retirée avec saint Jean. Nous ignorons tout des échanges qu'ils purent avoir ; et, ici moins que partout ailleurs, les

Pontevedra : dévotion réparatrice des premiers samedis ( 1925) Marie, Reine des cœurs (I) En 1705, saint Louis-Marie Grignion de Montfort a une mission à Montbernage, un faubourg de Poitiers (France). Là

vin », afin que le Père et le Fils répandent sur nous, comme dans une nouvelle effusion l'Esprit Saint. Notre Mère depuis toujours, ne te lasse pas de « nous visiter », de nous consoler, de nous soutenir