vérité absolue qu'il recherchait depuis tant d'années se trouvait effectivement chez les disciples de Jésus-Christ. Après avoir été séparé de son maître, Luc retourna en Grèce pour y proclamer l'Evangile. Il
développée. Peu à peu, celle-ci a conduit les croyants à la foi en l'élévation glorieuse de la Mère de Jésus, avec son âme et son corps, et à l'instauration en Orient des fêtes liturgiques de la Dormition et
"Nasser lève-toi, tu es guéri". Même réponse. Une troisième fois, la voix lui dit : "Je suis la Mère de Jésus, en son Nom, je te guéris, lève-toi." Et en même temps, il sent deux mains vigoureuses qui le mettent
souffrir ». Mais pourquoi cette référence au Roi de France ? Tout simplement parce qu'en 1689, lorsque Jésus-Christ révéla son Sacré-Coeur à Marguerite-Marie, il lui fit aussi une demande importante : « Fait
qu'on leur demande de s'enrôler pour soutenir la Révolution devenue tyrannique, la Vendée attachée à Jésus et Marie par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort se rebelle. Cathelineau se décide le 13 mars 1793
choses que celui-ci nous dit. Regardons tout ce que saint Luc nous raconte sur le début de la vie de Jésus : l'Annonciation, la Visitation, Bethléem, la naissance, toute la vie cachée ? Qui est-ce qui a été
royal issu de David et Messie sacerdotal issu d'Aaron », Luc manifeste les attaches sacerdotales de Jésus : Elisabeth était « descendante d'Aaron (1, 5), et Marie, sa parente » (1, 36), dit-il. Mais il laisse
François, vous pouvez le dire. Quand vous réciterez le Chapelet, dites après chaque dizaine : " Ô ! mon Jésus, pardonnez-nous. Préservez-nous du feu de l'enfer, attirez au ciel toutes les âmes, principalement
notre Ingratitude. Car, comme la Divinité est restée unie au corps dans le sépulcre, et à l'âme de Jésus-Christ dans les limbes, puis à son âme et à son corps après la Résurrection, notre alliance avec elle
le Père Lagrange a hérité de sa mère transparaît dans ce qu'il analyse du développement humain de Jésus : « On dirait qu'il y eut en lui, comme en d'autres, quelque chose de l'influence de sa mère. Sa grâce