pur de la tradition juive est dans la notion qu'Israël se faisait de Dieu, élevé au-dessus de toute nature, un, unique, transcendant, irreprésentable, innommable. Que nous soyons faits hommes et femmes à
qu'elle a pour son Dieu, elle est au moment d'expirer dans cette lutte trop inégale de la faible nature humaine contre les plus fortes et les plus puissantes de toutes les affections réunies dans un même
de la résurrection ; celle-ci était réclamée parle coeur d'un fils, et d'un fils tel que Jésus. La nature et la grâce exigeaient à la fois cette entrevue première, dont le touchant mystère fait les délices
d'apparaitre au moment où ce cri de douleur éclatait dans l'Église et cette occurrence miraculeuse est de nature à frapper très fortement le coeur et l'esprit (...) A cette heure privilégiée de l'histoire du monde
consciente de recevoir beaucoup. Par des moments de communion spirituelle face à la beauté de la nature. Par l’aide portée au prochain. A l’âge de 56 ans lors d’une très grande épreuve (décès d’un proche)
le Seigneur prit une humble vierge paysanne et l’éleva jusqu’à en faire la personne qui donna une nature humaine sans péché à la seconde Personne de la Trinité, afin qu’il puisse ainsi devenir notre Sauveur
plus précieux trésor pour le mettre à l’abri. Emballée dans une caisse, la statue de marbre grandeur nature doit être transportée à Pise. Mais de nombreuses intempéries forcent le bateau à jeter l’ancre une
Marie est une grâce pour elle-même, mais entièrement subordonnée à son Fils, seul à être immaculé par nature. L’Immaculée Conception de Marie est une grâce pour l’Église, qui se reconnaît en cette épouse de
le cœur endurci de ces bandits. Qu’ils soient dans nos prières et qu’ils prennent conscience de la nature diabolique des enlèvements criminels ». Le père Okorie décrit le père Ezeagu comme un jeune prêtre
jour saint à la Toute sainte. Ou encore, le samedi est le jour où Dieu a parachevé l’œuvre de la nature, et en Marie, Dieu a parachevé l’œuvre de la grâce. 3. - Le samedi est le jour où Dieu, après l’œuvre