14 novembre – Constantinople : Notre-Dame de Pasenika ou la Victoire de Marie

La bombe n’a pu détruire l’image de Marie

Notre-Dame de Guadalupe dans la basilique, Mexique.
CC BY-SA 4.0/Juan Carlos Fonseca Mata
Notre-Dame de Guadalupe dans la basilique, Mexique. CC BY-SA 4.0/Juan Carlos Fonseca Mata

Le 14 novembre 1921, Luciano Pérez, un employé du secrétariat de la présidence mexicaine, dépose au pied de l'autel central de la basilique de Mexico, sous l'image de Notre-Dame de Guadalupe, une guirlande de fleurs contenant de la dynamite.

Quelques minutes après qu'il soit sorti, il y a une violente déflagration. La violence de l'explosion détruit les escaliers de marbre de l'autel central. Un lourd crucifix en laiton qui était sur l'autel est projeté au loin si violemment qu'il se plie : il est conservé en l'état à la basilique. Les vitraux de la partie centrale de la basilique sont soufflés ainsi que les vitres des maisons environnantes.

Pourtant, l'image de Notre Dame de Guadalupe ressort totalement indemne de cette explosion dont l'épicentre était à ses pieds : pas même l'encadrement ni la vitre de protection ne sont abîmés !

Le sanctuaire marial de Notre-Dame de Guadalupe date du XVIè siècle. C’est en effet en l’année 1531 que la  Vierge Marie s’est montrée en premier lieu à un Indien mexicain, du nom de Juan Diego (1). Six ans après les apparitions de 1531, on comptait déjà 9 millions de convertis parmi les autochtones !

Les signes prodigieux laissés par la Vierge à Guadalupe témoignent de l’importance du lieu : la conservation de la « tilma » (2) de Juan Diego, les roses qu’il apporte en hiver, la signification des symboles, les images dans les yeux, les aspects miraculeux et absolument non reproductibles de l’image qui ne contient aucun pigment défient encore la science d’aujourd’hui…

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(1) Encyclopédie Mariale Et Notre Histoire avec Marie

(2) La tilma est un manteau mexicain

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