10 juin – Italie : Notre -Dame de Saint-Luc (1857)

« Alors que je ne priais jamais le chapelet… »

Au sanctuaire marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu, au Burundi, des pèlerins venus de différents coins de la capitale Bujumbura ou des diocèses limitrophes ou même lointains accourent et remplissent le petit sanctuaire de la Mère Trois fois Admirable. Beaucoup de grâces et bénédictions, voire même des guérisons s’obtiennent dans ce sanctuaire. Le présent témoignage nous a été donné par Madame Lyse Frances Gakima. C’est un témoignage de guérison, grâce à la confiance en la Vierge Marie. Elle nous raconte ceci :

« Je vais témoigner de la façon dont la Vierge Marie a obtenu ma guérison d’une maladie chronique qui me laissait complètement affaiblie depuis mon plus jeune âge : une sorte de rhume qui ne cessait jamais ! Lorsque j’étais en crise, j’avais de forts maux de tête et je me mouchais toutes les trois minutes et j’étais tellement faible que je ne pouvais pas aller à l’école. J’avais essayé tous les médicaments que les docteurs me prescrivaient, mais sans aucun effet. Cela m’empêchait d’évoluer tant dans la vie sociale que scolaire. Je passais presque toutes les semaines dans mon lit. Aucun médecin n’avait pu trouver de remède à ma maladie !

Un jour, une amie me dit que la seule chance pour moi était d’avoir recours à la Vierge Marie au sanctuaire marial de Schoenstatt Mont Sion Gikungu. Je me demandais comment j’allais interpeller la Vierge Marie alors que je ne priais jamais le chapelet. Petit à petit, j’appris à le prier et je commençais à fréquenter souvent le sanctuaire, demandant à la Vierge Marie d’intercéder pour moi. Pendant les deux premiers mois de ma récitation du chapelet, le rhume s’est espacé et au bout de trois mois de cette prière, le rhume a disparu jusqu’à aujourd’hui ! Je suis complètement guérie.

Je tiens donc à remercier, du fond de mon cœur la Vierge Marie et surtout son Fils Jésus-Christ pour m’avoir donné la joie et le bonheur d’être aujourd’hui en bonne santé, et comme on dit en Kirundi : “Uwushimye aba yongeje” (littéralement, qui dit “merci”, demande davantage). »

Signalons que dès lors, Lyse Frances est devenue enfant chérie de Marie. C’est rare qu’une journée passe sans qu’elle ne vienne dire bonjour à la Mère de Dieu qui lui a valu la guérison de ce rhume méchant.

Témoignage recueilli par Diomède Mujojoma, écrivain

https://sanctuairemontsiongikungublog.wordpress.com/

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