17 novembre – Lituanie : Marie Porte de l'Aurore

« Va à la rue du Bac »

Je m'appelle Yomin, j'ai 53 ans. Je suis née dans une famille protestante et fus baptisée à l'âge de 6 mois. Depuis lors je suis restée dans la foi protestante ne connaissant que Jésus. Mariée, je voulais avoir des enfants mais c'était impossible pour moi à cause de tous mes traitements médicaux. Àplus de trente ans, j’étais sans enfants !

Un jour, une dame avec qui j'étais en formation m'a parlé de la Vierge Marie de la rue du Bac à Paris : je l'ai immédiatement interrompue expliquant que ma foi protestante ne reconnaissait pas la Vierge Marie ! Mais cette collègue a insisté. Or, j'avais l'habitude de lire ma Bible dans le train et donc, peu après, je tombe sur l'Évangile de Jean, chap 1, 1-5 et je reçois une parole de connaissance qui me dit  : « Va à la rue du Bac. » C’était tellement fort et clair que j'ai obéi tout de suite. C'était en l’année 2000, un mardi. Lorsque je suis arrivée à la chapelle rue du bac à midi, les portes n'ouvraient qu’à 14h ; alors je suis retournée prendre le métro pour rentrer chez moi. Mais là, une voix a résonné dans mon cœur : « Tu restes et tu attends. »

Alors, j'ai fait quelques courses en attendant l’ouverture. C'était la toute première fois que je rentrais dans une chapelle catholique et je fus impressionnée par la statue. En m’avançant, j’ai lu  : « Approchez-vous pour recevoir les grâces. » Je me suis approchée à genoux et j’ ai commencé à raconter mes soucis de manque d'enfant.

Or, pendant que je parlais, j’ai ressenti comme des gouttes d'eau sur ma peau mais invisibles à mes yeux et, en même temps, j’ai ressenti comme un mouvement circulaire de mes pieds jusqu'à ma tête. Cela se répéta trois fois. Ensuite, je suis allée parler à un prêtre au confessionnal. Et, pendant que je lui parlais, une parole de connaissance m’a confirmé ce que me disait le prêtre : j'allais avoir un enfant  !

J'ai eu ma première fille à 33 ans. Aujourd'hui, j'ai 2 filles de 19 et 21 ans ! Merci Vierge Marie !

 

Yomin T.

Témoignage reçu par l’Association Marie de Nazareth le 8 août 2022

 

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