Mai, août, octobre et, d’une certaine façon, décembre, un tiers de l’année est consacré à Notre Dame. A ces mois nous pourrions ajouter les nombreuses fêtes célébrant un aspect particulier du mystère de la Sainte Mère de Dieu, ainsi que les samedis qui nous sont proposés comme jour marial.
La simple liturgie nous dit l’importance de Marie aux vocables multiples qu’égrainent comme une méditation infinie les litanies de la Vierge. Une contemplation des noms de Marie et des solennités qui mettent en lumière les mystères les plus saillants de l’humble servante nous introduit dans la profondeur ineffable de la relation entre l’homme et Dieu.
Le pape François rappelait récemment que Marie était inséparable de l’Eglise. Une union qui n’est pas sans rappeler les Trois blancheurs, témoins ultimes de la fidélité des catholiques au mystère même de l’incarnation. Le pape, Marie, l’Eucharistie, les trois piliers proprement catholiques, signes de reconnaissance, autrement dit symboles de l’unité de la foi.